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Sondez Les Écritures
14 novembre 2023

LE BEST SELLER LE PLUS VENDU DE TOUS LES TEMPS LA BIBLE #1 – UNE TRANSMISSION FIABLE

LE BEST SELLER LE PLUS VENDU DE TOUS LES TEMPS LA BIBLE #1 – UNE TRANSMISSION FIABLE

 

 

 

 

Dieu s’est-Il réellement révélé à l’homme ? Telle est la grande question à laquelle nous désirons consacrer cette série de textes. Dans une perspective chrétienne, une seule réponse peut y être donnée :  Dieu a parlé aux hommes de tous les temps, et Il le fait encore aujourd’hui à travers la Bible.

 

Même si on se borne à jeter sur elle un regard humain, trop humain, la Bible apparaît comme un livre unique. Elle est plus ancienne que la plupart des livres dont dispose l’humanité, mais son langage reste actuel pour nous, bien qu’un grand nombre de ses auteurs aient vécu il y a plus de trois millénaires. En tout ou en partie, ce livre a été à ce jour traduit en près de deux mille langues, et chaque année, des millions d’exemplaires en en sont diffusés sur toute la planète. La Bible est, de loin, le best-seller du monde littéraire. Quel autre ouvrage pourrait, à cet égard, sont ridiculement limitées, rivaliser avec elle ? Les éditions complètes des œuvres de en comparaison des siennes, Shakespeare ou de Goethe pour ne rien dire des autres écrits célèbres remontant, eux aussi, à l’Antiquité. D’ailleurs, nombre de ces derniersne sont, de nos jours, connus que des archéologues et des historiens. La Bible, elle, suscite un intérêt croissant dans toutes les couches de la société sur la terre entière.

 

La Sainte Écriture est en outre un ouvrage digne de foi, dont l’authenticité provoque toujours à nouveau l’étonnement des archéologues et des historiens, et contraint les moqueurs au silence.

 

Ainsi, par exemple, jusqu’au dix-neuvième siècle, on ne connut la ville de Ninive, (puissante capitale de l’Assyrie, totalement détruite en 612 avant Jésus-Christ), que grâce aux précisions fournies à son sujet par l’Ancien Testament. Les historiens grecs et romains ne l’avaient pas mentionnée dans leurs écrits. Lorsque, en 401 avant Jésus-Christ, Xénophon traversa la ville à la tête de dix mille grecs, il n’y eut personne, sur place, pour lui indiquer le nom du lieu où il se trouvait. Ce sont des faits de ce genre qui incitèrent Voltaire et d’autres hommes célèbres à se moquer de la Bible et à la présenter comme un vulgaire recueil de contes de fées. Pourtant, vers 1840, Ninive ressurgit brusquement des cendres du passé, pour confirmer, aux yeux d’un monde sceptique, l’authenticité des déclarations de la Sainte Écriture. C’est au Français Botta et à l’Anglais Layard que revient l’honneur d’avoir, grâce aux fouilles qu’ils entreprirent, rendu le site de l’ancienne Ninive accessible à la postérité. Botta découvrit, au Nord de la ville, sur l’emplacement de l’actuelle Khorsabad, le palais du monarque Sargon *722-705 avant Jésus-Christ), dont l’existence avait été mise en doute par la critique, parce que un seul verset de l’Ancien Testament mentionnait son nom. En fait, celui qui découvrit véritablement Ninive fut Layard, qui s’était livré à des recherches archéologiques en Mésopotamie de 1845 à 1854. La ville consistait alors en deux tumili de ruines. Sous le premier, appelé Nebi Junus, Layard mit au jour ce qui restait du palais du roi Asarhaddon (681-669 avant Jésus-Christ) ; de dessous le second, Kouyoundjik, il dégagea les vestiges de deux autres palais :  celui de Sanchérib (705-681 avant Jésus-Christ) et celui d’Assurbanipal (669-629 avant Jésus-Christ). Cette dernière découverte fut la plus sensationnelle, car elle permit d’accéder à la bibliothèque royale, comportant vingt mille tablettes d’argile numérotées. Sur l’une d’elle était gravée la version babylonienne du récit du Déluge. Ce texte renferme tant d’analogies avec celui de la Bible, qu’aujourd’hui plus personne n’oserait prétendre qu’il s’agit là d’une légende juive. L’écriture sur toutes ces tablettes était du cunéiforme babylonien. Pendant que Botta poursuivait ses recherches à Khorsabad, l’Anglais Rawlinson recopiait une inscription de Darius, roi de Perse, qui constitua la clé permettantde déchiffrer les caractères cunéiformes. Dans le même ordre d’idées, l’Égypte ancienne dévoilait ses secrets à l’humanité contemporaine grâce aux travaux du Français Champollion sur les hiéroglyphes (1822).

 

Les chercheurs allemands qui, de 1899 à 1917, opérèrent des fouilles à Babylone, purent confirmer l’exactitude des données fournies par divers livres de la Bible. La magnificence de la ville, l’orgueil du roi Nebucadnetsar (605-562 avant Jésus-Christ), l’existence du dernier monarque babylonien,Belschatsar (553-539 avant Jésus-Christ), toutes ces précisions contenues dans le livre du prophète Daniel, ont ainsi historiquement vérifiées.

 

 

Les critiques du dix-neuvième siècle se sont particulièrement gaussés des premières pages de l’Ancien Testament et des récits relatifs aux patriarches Abraham, Isaac et Jacob. Ils présentèrent ces textes, soit comme des mythes, soit comme des passages apocryphes introduits ultérieurement dans le Canon biblique. Ainsi, ils identifièrent Abraham à Thammuz, le dieu solaire babylonien, et Sarah à la célèbre déesse Ischtar. Ils prétendirent que vers l’an 2000 avant Jésus-Christ, les cultures existantes étaient bien plus primitives que celles évoquées dans les passages bibliques relatifs à cette époque. Mais depuis que le Britannique Woolley a exploré, de 1922 à 1934, le site d’Ur en Chaldée, patrie d’Abraham, ces critiques ont dû retirer une à une leurs assertions erronées. On a, en effet, découvert sur l’emplacement d’Ur, des maisons d’habitation à deux étages, comptant jusqu’à quinze pièces, proprement crépies à la chaux, et plus solidement construites que nombre de résidences arabes contemporaines. D’autre part, on a constaté qu’il existait à l’époque un système d’éducation très avancé. L’écriture, les langues, les mathématiques, la géographie et les sciences naturelles étaient enseignées dans les écoles. Enfin, les tombes royales ont été le lieu de découvertes sensationnelles :  elles recélaient de vraies pièces de musée en matière d’orfèvrerie d’or et d’argent. Woolley a écrit à ce sujet :  Début de citation :  « Nous sommes contraints de modifier de fond en comble les notions que nous avons eues jusqu’ici de la vie du patriarche, puisque nous venons d’apprendre qu’il a passé une première période de son existence dans un environnement hautement civilisé. Il était citoyen d’une grande ville et héritier des traditions d’une culture fort avancée. » fin de la citation.

Qu’aurait donc dit Woolley s’il avait été au courant des découvertes du site d’Ébla ?  Entre 1974 et 1978, le professeur Paolo Matthiae, de l’université de Rome, retira d’un tumulus de ruines du nord de la syrie plus de vingt mille tablettes gravées, datant de la deuxième moitié du troisième millénaire avant Jésus-Christ. Ces découvertes sont tellement extraordinaires et significatives que plusieurs érudits les jugent égales à celles de Qumran ou de Ras-Shamra )Ougarit). Elles éclairent d’une vive lumière Abraham et son époque.

 

La « re-découverte » de l’Égypte ancienne et, par la même occasion, celle de séries d’événements également mentionnés dans la Bible, commença en 1798, lorsque Napoléon Bonaparte entra en conquérant dans le pays des pharaons. La pierre de Rosette, et son inscription en trois langue, hiéroglyphiqu, démotique et grecque, qui date de l’époque du roi égyptien Ptolémée V (207-181 avant Jésus-Christ), permit à Champollion de déchiffrer la difficile écriture que constituaient les hiéroglyphes.

 

En 1896, Flinders Petrie fit à Thèbes la découverte de ce que l’on a appelé la « Stèle d’Israël », une pierre dont l’origine remonte au temps du pharaon Merneptah. Ses inscriptions renferment la première allusion extra-biblique au peuple d’Israël :  elle prouve que celui-ci avait déjà séjourné en Palestine antérieuremennt.

 

Le sol palestinien livra, lui aussi, plusieurs éléments d’information qui firent apparaître avec une clarté accrue l’authenticité historique de la Bible. En 1868, la célèbre pierre de Mesa vint couronner les recherches des archéologues. Mesa ou « Méscha », roi de Moab, vécut au neuvième siècle avant Jésus-Christ. Le Livre Des Rois parle des guerres qu’il mena contre le peuple d’Israël. La pierre de Mesa, appelée aussi Stèle de Moab, nous offre l’un des plus anciens échantillons d’écriture hébraïque de l’époque précédant l’exil babylonien. Une autre inscription hébraïque ancienne devait s’ajouter à la précédente en 1880. Elle se trouvait dans la galerie que le roi Ézéchias avait fait creuser au huitième siècle avant Jésus-Christ pour servir de canalisation d’eau. De même, des fouilles entreprisent à Meggido dégagèrent les grandes écuries destinées aux chevaux du roi Salomon. En Samarie, on recueillit de précieux fragments provenant de La « maison d’ivoire » du roi Achab. De 1937 à 1940, Nelson Glueck déblaya le site de la ville industrielle et du port d’Etsyon-Gueber, sur le golfe d’Akaba, autrefois propriété de Salomon. Ces découvertes permirent de comprendre l’origine et l’étendue des richesses de ce monarque.

 

En 1932, J. L. Starkey commença les fouilles relatives à la ville fortifiée de Lakish, au sud de la Palestine. Les travaux se poursuivirent jusqu’en 1938 et au-delà, et fournirent de précieux renseignements touchant le sixième siècle avant Jésus-Christ, époque qui vit la fin du royaume de Juda.Les 21 « lettres de Lakish », messages d’un officier à ses lieutenants stationnés dans la forteresse, confirment à de nombreux égards la situation dépeinte par le prophète Jérémie dans ses écrits. Mais l’une des découvertes les plus spectaculaires eut lieu en 1947 sur les rives de la Mer Morte, où des Bédouinstrouvèrent de vieux manuscrits de la Bible en langue hébraïque. Il s’agissait d’originaux, antérieurs de mille ans au texte massorétique des neuvième et dixième siècles de notre ère. À la grande surprise des érudits, ils apportèrent lsa preuve que la version de l’Ancien Testament en hébreu avait été transmise très scrupuleusement.

 

Il existe peu d’œuvres littéraires classiques dont on puisse ainsi contrôler l’authenticité en se référant à des manuscrits fiables. Nous ne possédons des époques d’Homère, le légendaire poète grec, que l’on dit avoir vécu vers l’an 800 avant Jésus-Christ, qu’une version complète, datant du onzième siècle de notre ère. La « Germania » de Tacite (premier siècle après Jésus-Christ) ne nous est connue que grâce à des textes de la fin du quinzième siècle. Il y a donc dans ces cas des « vides » de plus de mille ans entre le manuscrit d’origine et ses copies !

 

Il en va tout autrement de la Bible. L’historien allemand Lietzmann a pu écrire au sujet du Nouveau Testament :  Début de citation :  « La transmission de son contenu est d’aussi bonne qualité que peut l’être une variété de textes qui se sont librement développés pendant un assez long laps de temps . Étant donné l’âge des témoins qui se sont succédé, et compte tenu des conditions pravalant dans l’Antiquité,on constate, en remontant le cours des siècles, que cette transmission peut être retracée jusqu’à une époque très proche de celle où fut rédité le texte original.Par là même, nous avons un gage de la crédibilité historique de ces écrits. »

 

 

 

 

 

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