Falsification
Falsification
Il existait une multitude de synagogues totalement autonomes dans tout
l’empire grec et romain, jusqu’en Perse. Il aurait fallu intervenir dans toutes
ces bibles (rouleaux) pour les falsifier aux mêmes endroits, en rajoutant et en
retranchant des phrases entières. Cela voudrait aussi dire que plus de 600 ans
avant Mahomet, Jésus lisait dans le temple des livres prophétiques et des
livres de la loi totalement falsifiés. D’autre part, avec le temps, les gens
finissaient par connaître par cœur des versets. Ils se seraient rendu compte de
ces modifications.
Le Coran nous demande de croire à tout ce que racontait Mahomet sans
jamais douter de lui, et de considérer tous ses actes comme juste, sous peine
d’être condamné éternellement à l’Enfer. Or la Bible nous demande de faire
le contraire. Serions-nous prêts à accorder plus de crédit à celui qui nous
dit : fermez les yeux et ingurgitez ce que je place dans votre bouche, plutôt
qu’à celui qui nous conseille d’ouvrir les yeux, d’examiner, et faire examiner
soigneusement ce qu’il nous donne ?
Beaucoup de musulmans ignorent que du temps de Mahomet, les récits
bibliques racontés dans le Coran se trouvaient déjà dans la Bible, écrits dans
plusieurs langues, telles que le grec, l’hébreux, l’araméen et le copte. Nous
n’avons pas la moindre preuve que ces récits aient été vraiment soufflés par
un ange dans l’oreille de Mahomet. Le mensonge, l’inexactitude scientifique
ne peut pas venir de Dieu.
Quant à la Bible, elle déclare : « Ne croyez pas à toute parole inspirée,
mais éprouvez les pour savoir si elles sont de Dieu, car beaucoup de
faux prophète sont venus dans le monde ». (I Jean 4:1).
La Bible nous autorise à douter même d’un ange, surtout si ses paroles
s’opposent à celles du Christ et à la justice parfaite de Dieu.