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Sondez Les Écritures
21 octobre 2019

Rejet des prophéties bibliques par le Coran


Rejet des prophéties bibliques par le Coran

La puissance des prophéties bibliques, comme celles de Daniel, de
l’Apocalypse, d’Isaïe, des psaumes, etc., font passer les imperfections
humaines dans la retranscription des faits historiques de la Bible pour des
anecdotes. Ces erreurs sont heureusement détectables. En revanche, un
prophète de Dieu ne doit pas rejeter les prophètes qui le précèdent. Ce serait
rejeter la parole de Dieu. Le christianisme n’a pas agi ainsi.

Mais si nous regardons de plus près, nous constatons que c’est ce que fait
sournoisement Mahomet. Dire que tel prophète existait, tout en interdisant
de le lire, revient à le rejeter. Où pouvez-vous lire Isaïe, un grand prophète
reconnu par l’islam ? Certainement pas dans le Coran, Dans quelle sourate
pouvez-vous lire les prophéties de Daniel, de Jésus et de tous les prophètes
bibliques, ainsi que le livre de l’Apocalypse, écrit pour notre époque ? En
interdisant la lecture de la Bible aux musulmans, Mahomet les coupe
également de ces prophéties.

Examinées de plus près, les prétendues falsifications de la Torah et des
évangiles pour justifier cette interdiction n’ont aucun fondement. En effet, il
aurait été plus simple et plus logique pour un Dieu de sagesse de préciser où
ces erreurs ont été commises au lieu de rejeter l’ensemble de ses prophéties.
On ne jette pas le bébé avec l’eau du bain sous prétexte qu’elle est sale. On
les sépare.

Imaginons que les juifs et les chrétiens aient falsifié la Bible, mais qu’auraient-
ils ajouté pour la rendre impure au point de valoir l’Enfer à celui qui la
touche ? Contient-elle des textes encourageant l’idolâtrie et la trinité, ou des
choses mauvaises ? Rien de tout cela. La vraie raison est cachée. Le problème
est d’ordre antagonique. Il m’a paru clairement que les inspirateurs des deux
livres s’opposent.

Les initiateurs du Coran reconnaissent le Pentateuque, les cinq premiers livres
de la Bible, parce que certains récits belliqueux correspondent bien à l’esprit
de l’islam. Cependant même la lecture de ces livres leur est défendue.
Quelqu’un dans l’ombre s’est arrangé pour les tenir éloignés de la vérité.

Mahomet est le seul, soi-disant prophète, à rejeter tous les prophètes avant
lui. Il est pour le moins particulier, tant par ces actes que par son
enseignement. Or les prophéties ne sont pas des lois. Elles ne peuvent pas
être modifiées, ni abrogées. C’est la crédibilité du prophète et surtout celle
de Dieu qui est engagée. Dieu est-Il incapable de protéger sa parole ?
Pourquoi protégerait-Il le Coran de toute altération, mais pas la Bible ?
Pourquoi le Pentateuque, lui, serait protégé des falsifications mais pas le reste
de la Bible ?

Que proposa Mahomet comme prophéties de remplacement ? Si
l’interdiction de lire la Bible était un ordre de Dieu, cela voudrait dire que
tous les livres prophétiques avaient été écrits pour rien. Le Coran et la Bible
portent les empreintes de deux êtres opposés.

Quel fils Dieu demanda-t-Il à Abraham de sacrifier ?

Pour les juifs et les chrétiens, il s’agissait d’Isaac, mais les musulmans
contestent cette version, accusant la Bible de falsification. Pour eux,
conformément à ce que déclare le Coran, c’est Ismaël dont ils se réclament
être les descendants, qu’Abraham avait accepté de sacrifier. Pourquoi disent-
ils cela ? La lecture de Genèse 22 versets 1 et 2 nous aide à le comprendre.
On y lit :

« Or, après ces choses, il arriva que Dieu mit Abraham à l’épreuve. Il lui
dit donc : « Abraham ! » À quoi celui-ci dit : « Me voici ! ». Il reprit :
« S’il te plaît, prends ton fils, ton fils unique que tu aimes tant, Isaac,
et fais route vers le pays de Moriah, et là offre-le en holocauste sur
l’une des montagnes que je t’indiquerai. »

Etant donné qu’Abraham n’avait à un moment donné que deux fils, Ismaël,
l’ainé et Isaac, et que Dieu parle de fils unique, il ne pouvait s’agir à leurs
yeux que d’Ismaël. Si on en restait-là, on leur donnerait raison. Mais il faut
prendre tout le contexte. Nous sommes donc au chapitre 22 du livre de la
genèse. Mais voyons ce qui s’est passé avant, au chapitre 21. Lisons du verset
8 :

« Or l’enfant (Isaac) grandissait et fut donc sevré ; et Abraham
prépara alors un grand festin le jour où on sevra Isaac. Et Sara voyait
le fils d’Agar, l’Egyptienne, qu’elle avait donnée à Abraham, en train de
plaisanter. Elle se mit donc à dire à Abraham ; « Chasse cette esclave
et son fils, car le fils de cette servante n'héritera pas avec mon fils,
avec Isaac ».

« Cette parole déplut fort à d'Abraham, à cause de son fils. Mais Dieu
dit à Abraham : Que cela ne déplaise pas à tes yeux, à cause de l'enfant
et de ton esclave. Accorde à Sara tout ce qu'elle te demandera ; car
c'est d'Isaac que sortira une postérité qui te sera propre. Je ferai
aussi une nation du fils de ton esclave ; car il est ta postérité. »

« Abraham se leva de bon matin ; il prit du pain et une outre d'eau, qu'il
donna à Agar et la plaça sur son épaule ; il lui remit aussi l'enfant, et la
renvoya. Elle s'en alla, et s'égara dans le désert de Beer-Schéba… Dieu
fut avec l'enfant qui grandit… et devint tireur d’arc. Il habita dans le
désert de Paran et sa mère lui prit une femme du pays d'Egypte ».

Entre cet événement et le moment où Dieu demanda à Abraham d’offrir son
fils en sacrifice, il s’est écoulé du temps. N’oublions pas que dans la tradition
juive, les enfants étaient sevrés entre deux et trois ans ; sachant qu’Ismaël
avait treize ans de plus qu’Isaac, il devait être âgé de quinze ou de seize ans
quand il partit avec sa mère Agar.

Entre temps, il s’était produit d’autres événements, comme l’alliance conclue
entre Abraham et Abimelek (voir Genèse chapitre 21, versets 22 à 33).

Lorsque Dieu demanda à Abraham d’offrir « son fils unique » en sacrifice,
Ismaël n’était plus là. Il ne pouvait pas s’agir de lui. L’expression « fils
unique » ne signifiait pas qu’Abraham n’en n’avait qu’un. Là encore, c’est une
affaire de traduction. « Fils unique » a pour sens le seul qu’il te reste, ou le
seul qui est auprès de toi. Dieu a précisé : Celui que tu aimes tant. Il en avait
donc deux

La conversation que cet enfant tenait avec son père le jour où il devait
l’offrir en sacrifice, n’était pas celle d’un adolescent de dix-huit ou de vingt
ans. Attaché un enfant de cinq ou de six ans sur un autel en simulant un jeu,
est plus plausible.

Pourquoi Mahomet n’était pas un vrai prophète

La réponse la plus évidente est que ses actes que la morale condamne, et son
enseignement ne correspondaient pas à ceux de vrais prophètes de Dieu. Il
violait les commandements de Moïse dans le Pentateuque, auquel il
prétendait croire et ne faisait aucun cas du message pacifique de Jésus. Il
contredisait les autres prophètes et ferme leur accès aux musulmans. Par
exemple, le premier et le deuxième commandement disent :

1 - « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. »
2 - « Tu ne te feras point d’image sculptée. »

Mahomet semblait respecter ces commandements ; mais dans le fond, non. Il
a seulement transformé l’idolâtrie des Mecquois en une autre forme plus
subtile, moins évidente. Par ailleurs il continua jusqu’à sa mort à vénérer leur
pierre noire et conservait certains de leurs rites. Le plus grave, c’est qu’il
ordonna aux musulmans, où qu’ils se trouvent, lorsqu’ils s’adressent à Dieu,
de se prosterner en direction du bâtiment où se trouve cette pierre
d’inspiration démoniaque, dont personne ne peut prouver son origine
divine. Ils font croire aux musulmans qu’elle est tombée du paradis ; alors
qu’elle avait toujours fait partie du culte idolâtrique des Mecquois.

Le cinquième et le sixième commandement disent :
5 - « Honore ton père et ta mère. »
6 - « Tu ne tueras point. »

Pour Mahomet, tuer son père ou sa mère pour apostasie n’a rien de
condamnable. C’est même un acte honorable pour lequel il y aurait une
récompense dans le paradis. Aucun acte n’est plus cruel, rien n’est plus
immoral que de poignarder sa mère jusqu’à la mort ? De telles
recommandations viennent-elles de Dieu ou du Diable ? Le septième et le
huitième commandement stipulent :

7 - « Tu ne commettras point d’adultère. »
8 - « Tu ne déroberas point. »

Or Mahomet vivait de razzias. Il prenait ce qui appartenait aux autres et
couchait avec leurs femmes et avec ses propres esclaves et concubines. Il ne
respectait vraiment aucune loi divine. Le neuvième commandement dit :

9 - « Tu ne dois pas déposer contre ton semblable en faux témoin. »

Autrement dit, tu ne dois pas mentir. Or Mahomet autorise le mensonge
dans des situations particulières ; par exemple, pour garder l’harmonie dans
un couple, ou lorsqu’il s’agit de défendre sa religion. Or Dieu est un Dieu de
vérité ; et c’est justement dans le domaine religieux où son nom est associé
qu’il faut éviter de mentir. Il est écrit dans la Bible : « Les lèvres mensongères
sont en abomination à l'Éternel, mais ceux qui agissent avec vérité lui sont
agréables. » (Proverbes 12:22). Il n’est donc pas étonnant qu’Il écarte les
menteurs du paradis, en disant :

« Celui qui vaincra héritera ces choses ; je serai son Dieu, et il sera mon
fils. Mais quant aux lâches, aux incrédules, à ceux qui commettent des
abominations, aux meurtriers, aux impudiques, aux spiritistes, aux
idolâtres, et à tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de
feu et de soufre, ce qui est la seconde mort ». Apocalypse 21 :7, 8.

Quelqu’un qui se dit parfait et un bel exemple, ne devrait en aucun cas
figurer parmi ces gens qui n’hériteront pas du royaume de Dieu. Mahomet
encourage-il les musulmans à ne pas être des menteurs et des meurtriers ? Le
dixième commandement dit :

10 - « Tu ne dois pas désirer la femme de ton semblable. »

Mahomet avait beaucoup de femmes, des concubines et des esclaves
sexuelles. Il convoita néanmoins l’épouse de son fils adoptif, jusqu’à les
pousser à divorcer afin de posséder son corps. Pour justifier une telle
injustice, il fit interdire l’adoption, cet acte noble. Puis prétendit qu’Allah
rendit rétroactivement illégale l’adoption de Zahid.

Cette interdiction n’était en fait qu’un prétexte, car personne n’a le droit,
que l’un des membres d’un couple soit de sa famille ou pas, de dissoudre le
mariage entre deux personnes qui s’aiment, dans le but de légaliser son
propre fantasme. Coucher avec une fillette, non dans le but de procréer
relève aussi d’un autre fantasme. Dieu est là pour faire respecter les contrats
faits en son nom. Si cet homme ne respectait pas le Pentateuque auquel il
prétendait croire, comment aurait-il pu obéir aux commandements
pacifiques du Christ ?

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