Pourquoi y a-t-il autant de religions ?
Pourquoi y a-t-il autant de religions ?
Dans une explication sur la coexistence du bien et du mal, et pour montrer
que cela n’entrait pas dans le dessein de Dieu, Jésus donna une parabole qui
répond en partie à cette question. Il dit :
« Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé de la
bonne semence dans son champ. Mais pendant que les gens dormaient,
son ennemi vint, sema de l’ivraie parmi le blé, et s’en alla. Lorsque le blé
eut poussé et donné du fruit, l’ivraie parut aussi. Les serviteurs du
maître de la maison vinrent lui dire : Seigneur, n’as-tu pas semé une
bonne semence dans ton champ ? D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ?
« Il leur répondit : ‘Un ennemi, un homme a fait cela’. Et les serviteurs
lui dirent : ‘Veux-tu que nous allions l’arracher’ ? Non, dit-il, de peur
qu’en arrachant l’ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé.
Laissez croître ensemble l’un et l’autre jusqu’à la moisson, et, à l’époque
de la moisson, je dirai aux moissonneurs : ‘Arrachez d’abord l’ivraie, et
liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier.’ »
Lorsque les disciples lui demandèrent de leur expliquer la parabole, il dit :
« Celui qui sème la bonne semence, c’est le fils de l’homme. Le champ,
c’est le monde. La bonne semence, ce sont les fils du royaume ; l’ivraie,
ce sont les fils du malin ; L’ennemi qui l’a semé, c’est le Diable ; la
moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges.
« Or, comme on arrache l’ivraie et qu’on la jette au feu, il en sera de
même à la fin du monde. Le Fils de l’homme enverra ses anges, qui
arracheront de son royaume tous ceux qui font scandales et ceux qui
commettent l’iniquité. » (Luc 15:11 à 32).
Jésus fit comprendre que celui qui sema la bonne semence, c’est lui-même.
De ce fait, tous les enseignements qui s’opposent à son message de paix et les
faux prophètes qui se sont évertués à reléguer l’Évangile au second plan, sont
respectivement de la mauvaise herbe et des semeurs malveillants envoyés par
l’ennemi. « L’ennemi qui l’a semé, nous dit Jésus, c’est le Diable. »
Tout comme les pousses de l’ivraie et du blé sont difficilement distinguables,
ceux qui prendront position pour le royaume de Dieu présenteront des
similitudes avec les autres jusqu’au jour de la moisson. De ce fait, Dieu
n’autorise personne, même pas les anges, à intervenir avant le temps fixé, ou
avant le jour de la moisson. « Les moissonneurs, ce sont les anges »
conclut-il.
Ceux qui, comme Mahomet, demandent à de simples humains de tuer leurs
semblables, ou les membres de leur propre famille qui quitteraient l’islam,
ignorent qu’ils agissent contre le Propriétaire, qui est Dieu et contre son
dessein.
Supposons qu’on applique la charia à l’échelle planétaire et que la moitié de
la population terrestre refuse d’embrasser l’islam, parce qu’il est faux ; qui
s’occuperait de mettre à mort des milliards de personnes ? Une telle loi n’est
même pas concevable dans une société moderne. Elle est totalement
dépourvue de sagesse divine et de justice. C’est de la sauvagerie diabolique,
de l’inhumanité. D’autre part, un pécheur peut à la fin de sa vie changer du
tout au tout. Jésus déclara en Luc 15:7 et 10 :
« C’est ainsi, je vous le dis, qu’il y aura plus de joie au ciel pour un seul
pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont
pas besoin de repentance…»
« C’est ainsi, je vous le dis, qu’il y a de la joie parmi les anges de Dieu
pour un seul pécheur qui se repent. »
Quand on compare la solution radicale proposée par le Coran avec l’attente
de Dieu, il y a une opposition certaine. Qui peut priver le ciel de cette
immense joie de voir le pécheur se conformer à la volonté de Dieu en le
supprimant ? Qui peut avoir si peu de respect pour la vie des êtres que Dieu
a créés à son image ? Il n’y a que l’ennemi, comme Jésus l’a fait remarquer,
pour faire cela, cette créature violente et malfaisante qui utilise des hommes
méchants pour parvenir à ses fins. Le Coran nous demande de faire
exactement ce que le propriétaire, Dieu, redoutait.
Paradoxalement, celui qui se charge de tuer ses propres frères humains à la
place de Dieu, ignore, lui-même, s’il sera sauvé ou pas. Ce que Mahomet
demande à travers le Coran, c’est de tuer tous les êtres humains qui refusent
d’adhérer à l’islam, s’il n’est ni juif, ni chrétien. Quant à ces derniers, il faut
leur faire la guerre jusqu’à ce qu’ils payent un impôt et soient soumis.
Quand on examine le Coran à partir du Coran, et à la lumière de ceux qui
en font l’éloge, il nous semble parfait ; mais vu sous la lumière de la Bible, il
montre ses imperfections et surtout son opposition systématique au Dieu des
Hébreux et du Christ.