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Sondez Les Écritures
8 avril 2021

La torture, acte indigne d'un vrai prophète


La torture, acte indigne d'un vrai prophète


Ils ont dupé nos pères, les pères de nos pères. Vont-ils nous tromper, nous et
nos enfants, et les enfants de vos enfants jusqu’au jour du jugement ? N’est-il
pas temps d’ouvrir les yeux ? Il y a des actes indignes d’un vrai prophète de
Dieu. Dans le livre « Sirat Rassul Allah » de Ibn Ishaq (pages 514 – 515) : on
peut lire :

« Lorsque l’envoyé d’Allah conquit Al Qamus, le fort de ibn Abu Al
Huqayq, Safiya, qui est la fille de Houyay Ibn Akhtab, lui fut amenée
avec une autre femme. Bilal, qui les lui conduisit, les fit passer au milieu
des juifs qui avaient été exécutés. Quand celle qui était avec Safiya les
vit, elle cria et frappa son visage et se jeta de la poussière sur sa tête.

Lorsque l’envoyé d’Allah le vit faire ainsi, il dit : « éloigne de moi cette
diablesse ». Il ordonna qu’on fasse approcher Safiya et il jeta son
manteau sur elle ». Alors les musulmans surent que l’envoyé d’Allah
l’avait choisie pour lui-même.

On peut encore y lire un peu plus loin : « Elle était la femme de Kinânah
Ibn Al-Rabi Ibn Abu Al Huqayq […] Kinânah Ibn Al Rabi, qui avait la
garde du trésor des Banu Nadir, fut conduit auprès de l’envoyé d’Allah
qui l’interrogea à ce sujet. Kinânah nia savoir où était le trésor. Un juif
s’approcha de l’envoyé d’Allah et lui dit qu’il avait vu Kinânah fréquenter
une ruine tous les matins.

Quand l’envoyé d’Allah dit à Kinânah : « Sais-tu que si nous découvrons
que tu l’as je te tuerais ? Il dit : « Oui » L’Envoyé d’Allah ordonna de
fouiller la ruine et une partie du trésor fut trouvée.

Quand il l’interrogea sur le reste, Kinânah refusa de le révéler. Alors
l’Envoyé d’Allah ordonna de le torturer jusqu’à ce qu’il sorte ce qu’il
cache. Il alluma alors un feu avec du silex, chauffa du métal qu’il plaça
sur sa poitrine au point qu’il fut sur le point de mourir. Alors l’Envoyé le
livra à Muhammad Ibn Maslimah qui le décapita pour venger son frère
Mahmoud »

C’est un comportement de brigand. Un vrai prophète aurait trouvé la
cachette sans avoir eu besoin de torturer un innocent et de le faire exécuter.
Quel mal avait-il fait ? Ce qui arriva à cet homme aurait pu arriver à
n’importe qui d’entre nous. Il nous aurait suffi de tomber sur un chef de
guerre violent et avide de gains injustes pour que notre vie prenne fin dans
d’atroces souffrances. La doctrine implicite de l’impunité du mal dans le
cadre de la religion est née des atrocités commises par cet homme. Nous
pouvons encore lire dans « l’Histoire de Tabari, vol. 39, page 185 :

« Pendant que le prophète couchait avec Safiya, Abu Ayyub a veillé
toute la nuit près de l’entrée. Quand il aperçut le Prophète au matin, il
dit : « Allahu Akbar ! ». Il avait une épée avec lui, et dit au Prophète.
« Ô messager d’Allah, cette jeune femme venait juste d’être mariée et
tu as tué son père, son frère et son mari. Je n’avais pas confiance en
elle, et je craignais pour toi. » « Le prophète ria et dit : C’est bien ».

Quel genre d’homme était-il ? Et si les musulmans s’étaient trompés sur son
compte ? Ce n’était certainement pas un gentleman plein empathie, capable
de contrôler ses pulsions sexuelles. Etait-il capable de se mettre à la place
d’une femme qui allait avoir une relation sexuelle avec celui qui a fait
assassiner ses proches, et qui devait la dégoûter ? Cette mission sanglante fut
purement matérialiste. Mahomet autorisait ses soldats à coucher avec leurs
prisonnières, qu’elles soient encore mariées ou que leurs époux soient vivants
ou morts. Lorsque des soldats sont venus lui dire :

« Nous avons capturé des femmes à Awtas et elles avaient des maris.
Nous détestons avoir des relations sexuelles avec elles car elles
étaient mariées », que leur répondit-il ? L’un d’eux raconte :

« Nous avons interrogé le prophète et ce verset a été révélé : « […]
Sont aussi interdites les femmes déjà mariées, excepté les femmes
que possède votre main droite ».

Autrement dit, les femmes qu’ils obtiennent lors des conquêtes, en
envahissant de nouveaux territoires. C’est ce qui inspira sourate 4:22 à 24.
Puisque Dieu ne pouvait cautionner de tels actes, il est clair que l’auteur de
ce texte fut Mahomet, lui-même. Pourquoi Dieu autorisait-Il ces hommes à
souiller le mariage des autres ? Les actes de Mahomet semblaient clairement
dire : « Vous voyez bien que je ne suis pas prophète ».

En quoi ces mariages souillés et détruits lors des raids nocturnes différaient-ils
des mariages qui se pratiquaient par les israélites dans le passé ? Ce sont les
mêmes cérémonies agréées par Dieu. Jésus déclara : « Ce que Dieu a attelé
au même joug, que l’homme ne le sépare pas » (Matthieu 19:6).

Accepterions-nous qu’une horde de barbares envahisse notre village et
pratique le viol collectif des femmes ? Cela nous plairait-il que notre mère,
notre sœur, notre femme subissent de telles humiliations, simplement parce
que ces hommes prétendent être les seuls à servir le vrai Dieu ? Dans ce cas,
nous aurions aimé qu’ils le démontrent en donnant de bons exemples.
C’était de la délinquance organisée, pratiquée sous le couvert de la religion
par un chef de guerre autoproclamé prophète avide de domination.

Pourquoi Allah se prononça-t-il favorablement sur des actes sexuels injustes
allant à l’encontre des principes moraux ? Pourquoi permit-il aux hommes de
coucher avec leurs esclaves de sexe opposé, Alors que cela constituait un acte
d’adultère semblable à ceux qui coucheraient aujourd’hui avec leurs
servantes ? Sourate 4:3 déclare :

« Il est permis d’épouser deux ou trois ou quatre, parmi les femmes qui
vous plaisent, mais si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci,
alors une seule ou des esclaves que vous possédez. Cela, afin de ne pas
commettre d’injustice… »

C’est à croire que ces femmes esclaves, malgré elles, étaient des objets,
incapables d’éprouver le moindre sentiment d’injustice. Peut-on capturer des
femmes mariées d’autres religions, les violer, les vendre comme esclaves
sexuelles, coucher à sa guise avec elles et, après cela, se permettre de tuer
une femme qui allaitait son enfant parce que ce dernier avait été conçu en
dehors du mariage ?

Peut-on agir ainsi, puis dire aux incroyants qu’ils finiront en Enfer en cas
d’adultère, ou de fornication ? Le dieu de Mahomet, qui était Mahomet lui-
même, est un très mauvais juge, celui entre les mains duquel il ne faudrait
pas tomber au jour du jugement ; car il y a deux poids, deux mesures. Si les
occidentaux n’avaient pas fini par interdire l’esclavage et toutes les horreurs
auxquelles se livraient Mahomet et sa bande ; ces pratiques, à l’image de ce
que faisait l’Etat Islamique, auraient continué jusqu’à aujourd’hui, car rien de
tout cela n’a été abrogé.

Ce que subissent aujourd’hui les Rohingyas illustre sur une petite échelle ce
que le Coran demande aux musulmans de faire aux non-musulmans qui ne
sont ni juifs ni chrétiens. C’est aussi ce que des peuples ont dû subir à
l’avancée de l’islam : viols, vols, meurtres, enlèvements d’enfants et de
femmes pour les vendre sur le marché. Ces actes inhumains et barbares
perpétrés au nom d’une supériorité religieuse, raciale, ou d’une idéologie
politique sont à réprouver, quel que soit le côté où l’on se trouve.

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