L'amour de Dieu bannit la torture
L’amour de Dieu bannit la torture
Compte tenu de la population mondiale, nous pourrions croire à tort que
nous ne sommes que des grains de sable sur une plage parmi des milliards
d’autres. Si tel était le cas, nous nous tromperions grandement. En effet, si
nous avions une dizaine d’enfants, ou davantage, nous les aimerions tous
malgré leur nombre et leur différence. Pourtant nous ne sommes que des
humains imparfaits. Pourquoi Dieu ne pourrait-Il pas aimer chacun de nous
en particulier ?
Toutes les qualités de Dieu s’expriment au plus haut point, et l’amour n’en
fait pas exception. Mais cet amour est en équilibre avec ses autres qualités,
telle que sa justice. Tout autant que sa justice lui permettra de nous
pardonner, si nous nous repentons, l’amour prendra toujours le dessus, Il
nous pardonnera sur la base du sacrifice messianique. Mais l’abus en tout est
mauvais.
Si Dieu permettait tout, et pardonnait systématiquement les mêmes erreurs, il
n’y aurait aucune différence avec l’anarchie. Le repentir doit être sincère. Et
s’il est sincère, un homme doit être en mesure de dire : « Mon Dieu si je
recommence, rendez-moi service, détruisez-moi », sans quoi nous nous
mentons à nous-mêmes. Cependant, ne faites jamais cela. Car l’homme est
imparfait, il ne se connaît que partiellement. Si vous êtes sincère, votre
Créateur le voit. Reproduire les mêmes erreurs, c’est se moquer de Dieu et
du sacrifice messianique. Aimer Dieu et lui obéir n’est qu’un juste retour des
choses. La Bible dit qu’Il nous a aimés le premier (1 Jean 4:19).
Un père qui accepte que l’un de ses enfants risque sa vie, et souffre, en
donnant un organe pour assurer la survie de son jeune frère, peut-on encore
douter de son amour pour le plus petit ? Jean 3:16 dit : « Dieu a tant aimé
le monde qu’il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne
périsse point, mais ait la vie éternelle. »
Le monde, c’est qui ? Ce sont les musulmans, les chrétiens, les juifs et les
autres. Mais ce sacrifice n’est valable que si nous l’acceptons et le
reconnaissons. Celui qui nous encourage à ne pas y croire, sous prétexte
qu’un autre, un méchant serait pris et tué à la place de Jésus, nous ment. Il
est curieux qu’il sache cela, mais ignore qui dirige le monde et en quoi
consistait le péché en Eden.
Mahomet n’avait aucune notion de la rançon messianique, ni la signification
de la Pâque. Il reproduisait machinalement les sacrifices d’animaux pour
imiter Abraham, sans savoir qu’ils préfiguraient la vie d’un être parfait pour
le péché de l’humanité. Voilà pourquoi l’animal devait être parfait, sans le
moindre défaut, pour que le sacrifice soit agréé :
« Vous n’en offrirez aucun qui ait un défaut, car il ne serait pas agréé.
Si un homme offre à l’Eternel (YHWH) du gros ou du menu bétail en
sacrifice d’actions de grâces, soit pour l’accomplissement d’un vœu, soit
comme offrande volontaire, la victime sera sans défaut, afin qu’elle soit
agréée ; il n’y aura en elle aucun défaut. » Lévitique 22:20, 21.
« Tu n’offriras en sacrifice à l’Eternel (YHWH), ton Dieu, ni bœuf, ni
agneau qui ait quelque défaut ou difformité ; car ce serait une
abomination à l’Eternel (YHWH), ton Dieu. » Nombres 17:1.
L’ange Gabriel avait dit à Marie que l’enfant qui naîtra sera saint, fils de
Dieu. Il est l’agneau qui enlève le péché du monde dit Jean le baptiseur.
Apocalypse 5:12 parle de Jésus comme « l’Agneau qui a été immolé. » Cela
signifie que le sacrifice d’un malfaiteur à la place du Christ ne serait pas agréé
par Dieu. Le malheureux serait mort pour rien.
Quand on ne connaît pas la Bible, il est facile d’être induit en erreur.
Corroborer ce livre, c’est la soutenir dans son essence, qui est le royaume de
Dieu à venir, c’est partager ses points principaux et ses idées de base. Or le
Coran est en constante contradiction avec la Bible. C’est mentir aux
musulmans que de leur faire croire qu’il la corrobore.
Dieu n'est pas un tortionnaire
Dieu n’est pas ce bourreau dénué de sentiment, guettant nos moindres faux
pas pour nous rôtir éternellement en Enfer. C’est une invention de l’auteur
lui-même, la projection de son propre caractère rugueux. Nous avons de la
chance que l’être le plus puissant de l’Univers, n’ait pas le caractère de cet
homme et qu’Il soit plein d’amour et de compassion.
Psaumes 130:3, 4 déclare : « Si tu voulais épier nos fautes, Seigneur, qui
pourrait survivre ? » Pourtant malgré notre imperfection, Dieu n’a pas
honte de nous appeler ses fils. Mais comme à un père, nous Lui devons le
respect et l’obéissance. Ainsi dit-Il aux israélites par la bouche du prophète
Malaki (Malachie) :
« Un fils a des égards pour son père et l’esclave honore son maître. Ne
suis-je pas à la fois votre père et votre maître ? Si donc je suis un père,
où est le respect qui m’est dû ? Et si je suis votre maître, où est la
crainte de moi ? Vous me méprisez, et vous demandez : ‘En quoi t’avons-
nous méprisé’… » Malaki 1:6.
Dieu parlait ici aux prêtres qui acceptaient de sacrifier des animaux malades
alors que ceux-ci devraient être parfaits, « un mâle, sans défaut », des
sacrifices conformes aux prescriptions (voir Exode 12:5, 7, 13).
Dieu ne torturera personne. Jésus a fait comprendre en Matthieu 7:7 à 10
que nous n’avons pas plus de bons sentiments à l’égard de nos enfants que
Dieu en a pour nous. On lit dans les psaumes :
« Il ne nous a pas puni comme nous l’aurions mérité, Il ne nous a pas fait
payer le prix de nos fautes. Le Seigneur aime ses fidèles comme un père
aime ses enfants. Il sait bien, Lui, que nous sommes faits de
poussières. » (Psaumes 103:9, 13, 14).
Donc, Dieu n’a pas seulement de l’amour pour les êtres humains qu’Il a faits
à son image, Il a aussi de la compassion pour eux, tenant compte de leur
imperfection due au péché d’Adam. C’est aussi un père à qui nous pouvons
nous adresser par la prière sans en avoir peur. Rabâcher des paroles
répétitives en direction d’un lieu, dont nous pouvons raisonnablement
douter de la sainteté, ne nous fera pas écouter. Jésus déclara :
« Mais toi, quand tu pries, entre dans ta chambre particulière, et, après
avoir fermé la porte, prie ton Père qui est dans le secret ; alors ton
Père qui regarde dans le secret, te le rendra.
« Quand vous priez, ne rabâchez pas comme les gens des nations, car ils
pensent qu’en débitant beaucoup de paroles ils se feront écouter… Car
Dieu, votre Père, sait de quoi vous avez besoin avant même que vous le
lui demandiez. » (Matthieu 6:6 – 8).
Priez votre Créateur et Père, demandez-Lui de se révéler à vous et de vous
pardonner vos fautes. Mais lorsque vous priez, encore une fois, ne tournez
pas votre face en direction d’un lieu quelconque. Le risque de se faire piéger
est beaucoup trop grand.
Un musulman a fait la démarche. Il a demandé en prière : « Ô Allah
montrez-moi de bonnes preuves pour croire à votre religion ». Il écrivit :
« Je cherchais et je découvrais que Mohamed n’étais pas ce que je
croyais… » Il ne s’est pas contenté de prier, il est allé dans des hadiths, il a
questionné des imams.
Vous aussi, n’ayez pas peur de vous adresser à Dieu, votre Père. Ne tenez
aucun compte de ceux qui vous appellent « associateur ». Vous ne faites
que répéter après les grands prophètes de l’Ancien Testament, après Jésus, et
après le vrai ange Gabriel quand il annonça à Marie la naissance du Messie :
« Il sera appelé fils de Dieu. »
Le disciple Jean n’avoue pas seulement que Dieu aime les humains, il déclare
en I Jean 4:8 : « Dieu est amour ». Et cela veut tout dire. Dieu Lui-même
affirme en Apocalypse, livre extraordinaire : « Quiconque est vainqueur,
héritera de ces choses, et je serai son Dieu et il sera mon fils (…). »
(Apocalypse. 21:7).
Ce Père plein d’amour peut-Il nous envoyer pour toujours en Enfer parce
que nous avons tourné le dos sur le champ de bataille pour échapper à une
mort assurée ? Selon Mahomet les bons aussi connaîtront l’Enfer. Mais d’où
sortit-il cet enseignement ? Des hadiths racontent que lorsque quelques-uns
de ses compagnons lui demandèrent de leur expliquer sourate 19:70 à 72 qui
appuie cette idée, il le leur confirma. Puis ils lui demandèrent : « Même
vous, le messager d’Allah ? » Il répondit : oui, y compris moi ; jusqu’à ce
que la miséricorde de Dieu me touche. »
Quel plaisir prendrait notre Créateur à rôtir même ses serviteurs en Enfer ?
Ferait-Il preuve de justice et d’amour en agissant ainsi ? Cet enseignement de
Mahomet est probablement tiré de l’apocryphe « Les actes de Pilate », écrits
en grec, au quatrième siècle après Jésus. Il sera appelé plus tard «L’évangile
de Nicodème. » On y raconte que Jésus serait descendu en Enfer pour libérer
un juste.