Nous pouvons tous avoir un vrai rapport avec Dieu

Malheureusement, nos frères musulmans, globalement, n’ont pas ce rapport
avec leur Créateur du fait même de l’enseignement de Mahomet. À part lui,
les autres musulmans ne seraient là que pour gonfler le nombre de ses
adorateurs et esclaves.

Contrairement à nos animaux que nous pouvons aimer et dont nous
pouvons nous soucier, il n’y aurait, selon Mahomet, aucun lien d’affection
entre Dieu et nous. Pourtant Jésus enseignait le contraire. Il exhorta à ne
mépriser aucun des plus petits serviteurs de Dieu car, dit-il : « Je vous le dis,
leurs anges voient continuellement la face de mon père qui est dans les
cieux. » Jean 18:10.

Dieu mettrait-Il des anges au service d’êtres de peu de valeur ? Mahomet
s’opposait à Jésus sur presque tout : son enseignement, ses actes. Il a dressé
une barrière à la propagation de son message de paix. Il a contesté sa mort,
sa provenance céleste et a ordonné de tuer ceux des siens qui feraient volte-
face pour suivre son enseignement.

Comment peut-on se comporter de façon aussi antagonique au message du
Christ, tout en prétendant le reconnaître en tant que tel ? Il y a quelque
chose qui sonne faux. Il y a une opposition bien dissimulée entre l’auteur de
la Bible et celui du Coran. Le rejet des prophéties bibliques par Mahomet
sous l’imparable prétexte de falsification, était déjà un mauvais présage.

Nous pouvons tenter d’interpréter à notre manière les prophéties de Dieu,
mais nous ne pouvons pas les rejeter, surtout en se forgeant des prétextes.
Les chrétiens, par exemple, ont conservé les paroles que Dieu donna aux
juifs. Il y a une suite, une continuité dans la parole de Dieu qui nous permet
de comprendre aujourd’hui le livre de l’Apocalypse à la lumière des écrits de
l’ancien testament.



Quant à Mahomet, il fit table rase des prophéties de Dieu et de tous ses
prophètes. Pourquoi ? Parce qu’il n’était pas dans la continuité des prophètes
de Dieu. Il aurait dû, par exemple, voir que le livre de l’Apocalypse n’était
pas falsifié. Il a rejeté toutes les prophéties de Dieu depuis les premiers temps
de l’humanité jusqu’au livre de l’Apocalypse qui concerne notre époque.

Qu’a-t-il proposé à leur place ? Cette seule affirmation : « Je suis prophète. »
Il s’est fait appeler « messager d’Allah ». Mais que nous a-t-il transmis comme
message que nous ignorions ? Dire que Dieu chasse des démons avec des
météores n’a rien d’extraordinaire. Cela est même faux.

Pour certains musulmans la Charia est un cadeau du ciel. Mais pour qui ?
Arriverions-nous à imaginer des lois saintes qui autoriseraient les chrétiens à
faire de raids nocturnes sur des villages en vue de les piller ? Pouvons-nous
imaginer des lois saintes qui légaliseraient le viol de femmes mariées des non-
chrétiens ?

Accepterions-nous des lois qui ordonnent aux chrétiens de soumettre
musulmans et juifs et de les considérer comme des êtres inférieurs et impurs ?
Trouverions-nous justes des lois qui encouragent à tuer certains de ceux qui
refuseraient de se convertir au christianisme ? Des encouragements à mettre à
mort tout musulman qui fut jadis chrétiens nous auraient été insupportables,
n’est-ce pas ?

Si nous étions dans l’autre camp, apprécierions-nous des lois qui autorisent
les chrétiens à vendre nos enfants comme du bétail, à prendre nos femmes
bien-aimées pour en faire des esclaves sexuelles ou des concubines, sous
prétexte que les chrétiens possèdent la vraie religion ? Nous serions contents
qu’ils nous le prouvent. Comment peut-on faire couler le sang et pratiquer le
mal et l’injustice sur la seule base de la foi ? Nous n‘avons aucune preuve
que tout ce que racontait Mahomet était exact.

Approuverions-nous une loi qui autorise les chrétiens à attaquer et à
accaparer les pays musulman et juifs afin de soumettre leurs habitants et leur
faire payer un impôt religieux déshonorant et appauvrissant pour qu’ils
puissent continuer à vivre sur la terre ?

A leur place, nous aurions aussi de la peine à qualifier ces lois de « saintes »,
ainsi que le livre dans lequel elles sont écrites, et ceux qui les pratiquent. Si
ces gens arrivaient chez nous pour imposer de tels enseignements et de telles
pratiques, cela nous inspirerait de la méfiance. Nous pouvons alors
comprendre le sentiment qui anime les non-musulmans.



En fonction de quoi devient-on un être inférieur ou supérieur ? En fonction
de son appartenance religieuse ? Mais connaît-on une religion où tous les
gens sont bons ? Ce que subissent les Rohingyas nous révolte tous ; mais ce
n’est rien en comparaison de ce que faisaient Mahomet et sa bande. Selon
quel critère définit-on le bien et le mal ?

Sourate 9 : 28 affirme que « Les associateurs ne sont qu’impureté. » Si le
Coran ne s’inscrivait pas dans un cadre religieux avec autant de pratiquants,
il serait probablement interdit dans beaucoup de pays pour incitation à la
haine et au meurtre. Le plus effrayant, c’est qu’un petit nombre de personnes
se sentent obligés d’appliquer à la lettre ces recommandations barbares,
comme le fait de tuer l’apostat, fut-il notre frère, notre sœur, notre mère.

C’est comme un cardiologue qui décide d’euthanasier les patients qui
refusent sont traitement. C’est très paradoxal de tuer ceux que l’on prétend
sauver. C’est comme vouloir mettre à mort, lors d’un sauve-qui-peut, ceux
qui choisissent en cours de route un chemin plus sûr pour tenter de sauver
leur vie. Leur décision n’empêche pas les autres, y compris le tueur de
continuer leur route. Ce serait d’autant plus paradoxal que le tueur sache
que l’autre voie conduit au même but. Le Coran ne dit-il pas au sujet de ceux
qui croient en Jésus :

« Ô Jésus, certes, je vais mettre fin à ta vie terrestre et t’élever vers
moi, te débarrasser de ceux qui n’ont pas cru et mettre jusqu’au jour de
la résurrection, ceux qui te suivent au-dessus de ceux qui ne croient
pas. » Sourate 3:55.

Si ces paroles viennent de Dieu, pourquoi Mahomet commanda-t-il de tuer
les chrétiens qui furent jadis musulmans ? Fussent-ils leurs sœurs, leur mère,
leurs frères. Aucune maison divisée ne tiendra, nous dit Jésus. Si Mahomet
croyait que ces paroles venaient vraiment de Dieu, aurait-il ordonné de tuer
les ex-musulmans convertis au christianisme ? Non. Si l’islam tue ceux qui
sont approuvés par Allah, quel est son but ?

Si nous sommes incapables au vingt et unième siècle de différencier le bien
du mal, sous prétexte que l’ordre émane effectivement de Dieu, le fossé
entre le monde occidental et les actes barbares d’une religion, ne peut que
grandir. Aucun pays civilisé n’accepterait, par exemple, la mise à mort
rituelle et collective de milliers de gens pour cause de conversion à une autre
religion. L’ONU finira par s’en mêler. Et la guerre deviendra inévitable. Les
musulmans finiront par se rendre compte que Mahomet et son Coran
n’étaient pas ce qu’ils pensaient. J’espère que cela arrivera le plus tôt
possible.