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Sondez Les Écritures
7 septembre 2022

Des contradictions trop criantes

Des contradictions trop criantes




Les contradictions entre les Évangiles et le Coran sont trop nombreuses et
trop criantes pour que ce livre ait pu être inspiré par Dieu pour corroborer la
Bible. Imaginons que nous désirions suivre les deux livres, puisqu’ils sont
censés provenir de Dieu, eh bien, nous serions dans l’embarras tant ils
s’opposent. Le pacifisme poussé à l’extrême de Jésus serait en total désaccord
avec le Coran. Prenons quelques versets du Coran :

« Ô croyant ! Lorsque vous rencontrez l’armée ennemie marchant en
ordre, ne prenez pas la fuite. Quiconque tournera le dos au jour du
combat, à moins que ce ne soit pour revenir à la charge, ou pour se
rallier, sera chargé de la colère de Dieu. Sa demeure sera l’Enfer ; quel
affreux séjour ! »

« Ce n’est pas vous qui tuez, c’est Dieu. Quand tu lançais (un trait), ce
n’est pas toi qui le lançais, c’était Dieu, pour éprouver les fidèles par une
belle épreuve ; car Dieu entend et sait tout. » Sourate 8:15 – 17.

Tout comme il a trompé Eve, l’auteur du Coran fait croire aux musulmans, à
travers Mahomet, qu’ils ont été chargés par Dieu pour instaurer une seule
religion sur la terre, de gré ou de force. Mais c’est un mensonge, car on sait
très bien que le mal, les guerres, la violence, ne cesseront jamais sous le
régime de Satan. Comme Jésus l’a dit, « Il faut que ces choses arrivent » ;
car elles mettent en évidence l’échec du système anarchique souhaité par
Satan.

Satan prétend que Dieu nous éprouve par les guerres. Mais en réalité notre
Créateur nous connaît mieux que nous-mêmes. Il peut savoir ce que nous
ferons jour après jour jusqu’à la fin de notre vie, même s’Il n’utilise pas
systématiquement sa prescience.

Sourate 48:17 : déclare : « Si l’aveugle, le boiteux, l’infirme, ne vont point
à la guerre, on ne le leur imputera pas à un crime. (…) »

Comment le Coran peut-il corroborer la Bible, quand le Christ interdit toute
participation aux guerres et conseille de ne pas rendre le mal pour le mal ?



Voici quelques autres versets du Coran, incompatibles avec l’enseignement
de Jésus : Sourate 9:111 :

« Dieu a acheté les croyants, leurs biens et leurs personnes pour qu’il
leur donnât en retour le paradis ; ils combattront dans le sentier de
Dieu, ils tueront et seront tués. La promesse de Dieu est vraie : il l’a
faite dans le Pentateuque, dans l’Evangile, dans le Coran ; et qui est plus
fidèle à son alliance que Dieu ? Réjouissez-vous du pacte que vous avez
contacté, c’est un bonheur ineffable. »

Sourate 8 : 65 et 67 : « Ô prophète ! Excite les croyants au combat. Vingt
braves d’entre eux terrasseront deux cents infidèles. Cent en mettront
mille en fuite, parce que les infidèles n’ont point de sagesse. (…)

« Il n’a jamais été donné aux prophètes de faire des prisonniers sans
commettre de grands massacres sur la terre. Vous désirez le bien de ce
monde, et Dieu veut vous donner ceux de l’autre. Il est puissant et sage.
»

Indirectement, Mahomet laisse entendre ; car c’est bien lui qui parle, qu’il a
commis de grands massacres sur la terre, ce qui est d’ailleurs vrai. Il suffit,
pour s’en convaincre, de lire sur Wikipédia le nombre d’expéditions, de
batailles, de conquêtes qu’il a engagées en si peu de temps sous le couvert de
la légitime défense, sans parler des assassinats qu’il a commandés.

Sourate 22:77 : « Combattez pour la cause de Dieu comme il convient de
le faire ; vous êtes ses élus. Il ne vous a rien commandé de difficile
dans votre religion, dans la religion de votre père Abraham, il vous a
nommés musulmans. »

Sourate 47:4 à 8 : « Quand vous rencontrez les infidèles, tuez-les jusqu’à
en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous
aurez faits… »

On sent qu’il y a derrière ces versets un instigateur qui prend plaisir dans le
sang et le chaos. Tout était orienté vers la guerre, avec pour promesse une
vie de bonheur suprême dans le paradis au cas où le combattant venait à y
perdre la vie :



« Si Dieu voulait, il triompherait d’eux lui-même ; mais il vous a fait
combattre pour vous éprouver les uns par les autres. Ceux qui auront
succombé dans le sentier de Dieu, Dieu ne fera point périr leurs
œuvres. (...)

« Ô croyants ! Si vous assistez Dieu dans sa guerre contre les
méchants, Lui, il vous assistera aussi, et il affermira vos pas. »

Cela ressemble à un pacte : Aidez-moi et je vous aiderais. Dieu serait-Il
incapable d’utiliser ses anges, ou d’intervenir Seul contre les méchants ?
Aujourd’hui, pour ne pas trop choquer les occidentaux, certains musulmans
expliquent que ces versets ne s’appliquaient qu’aux infidèles de la Mecque et
à d’autres tribus arabes. Mais les chrétiens et les juifs sont décrits comme des
associateurs, qui seraient des impuretés, selon sourate 9:28.

Puis au verset 29 on lit ceci :

« Faites la guerre à ceux qui ne croient point en Dieu ni au jour dernier,
qui ne regardent point comme défendu ce que Dieu et son apôtre ont
défendu, et à ceux d’entre les hommes des Ecritures qui ne professent
pas la vraie religion. Faites-leur la guerre jusqu’à ce qu’ils payent le
tribut de leurs propres mains et qu’ils soient soumis. »

Par ailleurs, les hommes des écritures sont les juifs et les chrétiens. Quelle
sagesse divine voyons-nous dans de telles paroles ? Quel est l’objectif
spirituel d’un tel verset ? Cela vaut-il la peine d’obéir aujourd’hui à une telle
injonction ? Nous ne vivons plus dans l’antiquité. Le monde a évolué. Nous
ne pouvons plus faire la guerre dans le simple but de soumettre des peuples
et de leur faire payer un tribut. Même si l’islam a pris naissance des centaines
d’années après le christianisme, certains de ses enseignements ne sont pas
toujours adaptés au monde moderne.

L’islam, dit-on, est une religion de paix, mais comment peut-on attaquer
dans la paix les autres pays et leur faire payer un tribut ? Cette paix est en
réalité conditionnée à la soumission. Or, les nations n’accepteront jamais de
se soumettre, au nom de la religion, à des lois injustes et matérialistes. Il y
aura automatiquement la guerre. Et celui qui cherche un prétexte pour
engager la guerre ne peut pas prétendre être pacifique. Dès lors que les
musulmans sont supérieurs en force, selon cette idéologie non avouée, ils
doivent engager la lutte et soumettre les autres, ou même les tuer.



Sourate 47:33 et 37 : « Nous vous mettrons à l’épreuve jusqu’à ce que
nous connaissions les hommes qui combattent pour la religion et qui
persévèrent. Ne montrez point de lâcheté, et n’appelez point les
infidèles à la paix quand vous leur êtes supérieurs, et que Dieu est avec
vous. Il ne vous privera point du prix de vos œuvres. »

Sourate 48:16 : « Dis encore aux arabes du désert qui sont restés chez
eux ; nous vous appellerons à marcher contre des nations puissantes ;
vous les combattrez jusqu’à ce qu’elles embrassent l’islam. Si vous
obéissez, Dieu vous accordera une belle récompense ; mais si vous
tergiversez comme vous l’avez déjà fait autrefois, il vous infligera un
châtiment douloureux. »

Sourate 9:38 : « Ô croyants ! Qu’avez-vous donc, lorsque au moment où
on vous dit : Allez combattre dans le sentier de Dieu, vous vous êtes
montrés lourds et comme attachés à la terre ? Vous avez préféré la vie
de ce monde à la vie future ; les jouissances d’ici-bas sont bien peu,
comparées à la vie future.

« Si vous ne marchez pas au combat, Dieu vous châtiera d’un châtiment
douloureux, il vous remplacera par un autre peuple, et vous ne saurez lui
nuire en aucune manière. Dieu est tout puissant. » Sourate 9:38

« Si vos pères et vos enfants, vos frères et vos femmes, vos parents et
les biens que vous avez acquis, et le commerce dont vous craignez la
ruine, et les habitants dans lesquels vous vous complaisez vous sont plus
chers que Dieu, son apôtre et la guerre sainte, attendez-vous à voir
Dieu exécuter ses arrêts. Dieu ne dirige point les méchants. » Sourate
9:24.

Sourate 9:124 : « Ô croyants ! Combattez les infidèles qui vous
avoisinent ; qu’ils vous trouvent toujours sévères à leur égard. Sachez
que Dieu est avec ceux qui le craignent. »

Jésus déclara : aimez vos ennemis, priez pour ceux qui vous persécutent, le
Coran affirme, lui :



« Il n’appartient pas au prophète et aux croyants d’implorer le pardon
en faveur des associateurs, fussent-ils des parents, alors qu’il leur est
apparu clairement que ce sont les gens de l’Enfer. » Sourate 9:113.

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Quant à la répudiation pratiquée par les juifs, Jésus faisait savoir qu’elle ne
venait pas de Dieu, mais de Moïse. Lisons une partie du récit en Matthieu 19
à partir du verset 3 :

« Et des pharisiens s’avancèrent vers lui avec l’intention de le tenter, en
disant : "Est-il permis à un homme de divorcer d’avec sa femme pour
n’importe quel motif" ?

« En réponse il dit : ‘N’avez-vous pas lu que celui qui les a créés, dès le
commencement, les a faits mâle et femelle, et qu’il a dit : "C’est
pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa
femme, et les deux seront une seule chair ? Si bien qu’elles ne seront
plus deux ; mais une seule chair ; donc, ce que Dieu a attelé au même
joug, que l’homme ne le sépare pas".

« Ils lui dirent : ‘pourquoi donc Moïse a-t-il prescrit de donner un acte
de renvoi et de divorcer d’avec elle ? " Il leur dit : « Moïse, à cause de
votre dureté de cœur vous a concédé le droit de divorcer d’avec vos
femmes, mais dès le commencement, il n’en a pas été ainsi.

« Je vous dis que quiconque divorce d’avec sa femme – sauf pour motif
de fornication – et se remarie avec une autre, commet l’adultère’. Les
disciples lui dirent : « Si telle est la situation de l’homme par rapport à
la femme, il n’est pas conseillé de se marier. »

On entrevoit la dimension purement humaine de certaines des lois données
par Moïse. En effet, celui-ci était obligé de tenir compte de la volonté des
israélites, et d’adapter les lois en fonction de leur état d’esprit. Moïse
donnait des lois sur l’esclavage, mais cela ne veut pas dire qu’il faille le
pratiquer aujourd’hui ou que Dieu l’approuvait.



Les lois de Moïse étaient un mixage entre des commandements de Dieu et
des traditions humaines. Voilà pourquoi Jésus disait que les pharisiens
enseignaient pour doctrines des commandements d’hommes.

On comprend qu’un Dieu d’amour condamnerait la répudiation, qui était
pour les femmes une petite mort. Mettez-vous à leur place : abandonner du
jour au lendemain, foyer, mari, et parfois les enfants, sans avoir de tort, pour
recommencer ailleurs une improbable nouvelle vie.

C’était très dur pour elles. Les femmes répudiées en Israël étaient très
nombreuses à cause de ces lois de Moïse. Elles n’avaient qu’une consolation :
implorer Dieu. Elles pleuraient nuit et jour dans le Temple. Dieu finit par
dire, par l’intermédiaire du prophète Malachie (Malaki) :

« Et voici la deuxième chose que vous faites : Vous couvrez de larmes
l’autel de l’Éternel de pleurs et de gémissements ; de sorte qu’il ne se
tourne plus vers l’offrande, et qu’il ne peut rien agréé de vos mains. Et
vous dites pourquoi ?

Parce que l’Éternel a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, à
laquelle tu es infidèle, bien qu’elle soit ta compagne et la femme de ton
alliance. Il y en a eu un qui ne l’a pas fait, et pourquoi ? Parce qu’il
cherchait la postérité que Dieu lui avait promise.

« Prenez donc garde à votre esprit, et que personne ne trahisse la
femme de sa jeunesse ! Car je hais la répudiation, a dit l’Éternel, le Dieu
d’Israël, et celui qui a couvert son vêtement de violence. » (Michée 2:13
à 16).

Qui peut, après cela, donner des lois sur la répudiation, pratiquer la
violence, accepter que son fils répudie sa femme non fautive afin de la
posséder, et prétendre que l’ordre venait de Dieu ? Or, Jésus déclara que
quiconque divorce de sa femme, sauf pour motif de fornication, commet
l’adultère, et que celui qui se marie avec une telle femme commet aussi un
acte d’adultère.

Mahomet, aurait-il accepté qu’on épouse l’une de ces femmes après l’avoir
renvoyée ? Certainement pas, puisque Dieu aurait déclaré en sourate 33 : 53
qu’après sa mort aucune de ses femmes ne pourrait se remarier. La fin du
verset précise : « Cela Jamais ! Ce serait très grave en (considération de)
Dieu. » En réalité, c’est la fierté masculine de l’homme qui entrait en ligne de
compte. Ces paroles sont de lui. Où est le péché ? N’a-t-il pas eu la femme
de son fils ?

En sourate 5:92, l’ange déclare que le vin est une abomination inventée par
Satan. Or, le vin est un processus naturel de fermentation due à des bactéries.
Savez-vous que dans le temple, le vin était accepté avec les offrandes
présentées à Dieu ? (Exode 29:40 ; Lévitique. 23:13).

Les patriarches en buvaient, de même que Jésus et ses apôtres. Par contre, les
nazaréens, dont Mahomet était proche, n’en buvaient pas. Drôle de
coïncidence ? Non. Ce qui est déconseillé dans la Bible, c’est l’excès de
boissons alcoolisées, le fait de s’enivrer, selon Ephésiens 5 : 18.

Je me demande comment on peut concilier les paroles de sourate 17:15,
disant :

« Nul ne portera le fardeau de l’autre », avec celles prêtées à Mahomet
dans le Sahih de Muslim sous le No. 2767 où on lit : « Au jour de la
résurrection des gens viendront avec des péchés comparables aux
montagnes. Allah les leur pardonnera, et les transfèrera aux juifs et
aux chrétiens. »

Comme vous le constatez, la contradiction est partout. Rien n’est clair.




Le rejet de la Bible, une autre contradiction




Une autre contradiction concerne directement la Bible. En effet, l’Apocalypse
débute par ces paroles :

« Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses
esclaves les choses qui doivent arriver bientôt. Et il a envoyé son ange
et, par son intermédiaire, il l’a présentée en signe à son esclave Jean.
(...) Heureux celui qui lit à haute voix et ceux qui entendent les paroles
de cette prophétie, et qui observe les choses qui s’y trouvent écrites ;
car le temps fixé est proche. »

Les propos de l’ange peut être interprétés aussi ainsi : Malheur à celui qui ne
lit pas à haute voix et n’entendent pas les paroles de cette prophétie et
qui n’observe pas les choses qui s’y trouvent inscrites. Si ces paroles
viennent de Dieu, si les prophéties bibliques s’accomplissent, alors qu’elles
sont supposées être falsifiées, quelqu’un tapis dans l’ombre veut du mal aux
musulmans. Ses prophéties ne peuvent pas s’accomplir tout en étant
caduques.

L’Apocalypse avertit encore : « Si quelqu’un adore la bête et son image, et
reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira lui aussi du vin
de la fureur de Dieu (…). »

Si les prophéties des bêtes de l’Apocalypse sont exactes, nous devons aussi
tenir compte de cet avertissement de Dieu. Pourquoi le Coran, qui est
supposé corroborer la Bible, n’en dit-il rien aux musulmans ? Leur explique-t-
il comment éviter de porter la marque de la bête ?

Mais le plus dangereux, c’est cette opposition constante aux avertissements
bibliques. La Bible déclare : Heureux celui qui lit à haute voix (…) les
paroles de cette prophétie et qui observe les choses qui s’y trouvent
écrites. » Le Coran réplique en disant :

« Tu ne te trouveras pas dans une circonstance quelconque, tu ne liras
pas un seul mot du livre, tu ne commettras pas une action quelconque,
que nous ne soyons présents et témoins dans ce que vous entreprenez
(…) » sourate 10:61 : (le Coran de Mohamed Arkoun. GF Flammarion

Ces paroles, vous semblent-elles provenir de quelqu’un qui aime la Bible et
qui cherche à corroborer ce qu’elle enseigne ? Dans des versions du Coran
faites pour les occidentaux, le « livre » est remplacé par le « Coran. » Ce
serait donc le Coran qu’il ne faut pas lire. Si ce livre est adressé aux
musulmans, pourquoi devraient-ils éviter de le lire ?

Comment peut-on avoir confiance dans une religion où le mensonge est
autorisé, voire encouragé ? Ils reproduisent ce qu’ont fait leurs pères et les
pères de leurs pères avant eux, en fabriquant un livre sacré. Le Coran est
plein d’incohérences. Jésus déclare en Jean 12 : 48, 49 :

« Celui qui fait peu de cas de moi et ne reçoit pas mes paroles, qui le
jugera ? La parole que j’ai dite, voilà qui le jugera au dernier jour. Car je
n’ai pas parlé de mon propre mouvement, mais le Père, qui m’a envoyé,
m’a donné Lui-même un commandement quant à ce que je devrais dire et
exprimer. »



C’est la preuve que les paroles du Christ seront non seulement valables au
dernier jour, mais que c’est à partir d’elles que l’humanité sera jugée et non à
partir d’un nouveau livre contradictoire qui, de surcroît, ose prétendre
corroborer la Bible. La propagation de l’enseignement de Jésus s’intègre ici
dans une prophétie relative à la fin du monde. Lorsque ses disciples lui
demandèrent un signe pour identifier cette époque, il déclara :

« Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée à travers la terre
habitée toute entière, en témoignage pour toutes les nations, alors
viendra la fin. »

Ce verset montre que la nouvelle du royaume sera encore « bonne » au
temps de la fin, C’est une prophétie de Jésus, vous ne pouvez pas la changer.
Si le message du Christ était destiné à être remplacé par son opposé, Jésus
serait un faux prophète.

Or une prophétie ne peut être modifiée. Ce qui a été prédit arrivera. De ce
fait, le Coran ne peut pas imposer une limite territoriale à cette bonne
nouvelle du Christ, en encourageant le meurtre des musulmans qui désirent
suivre Jésus.

Comment peut-on ne pas voir où se trouvent le mal et le mensonge ?
L’inspirateur du Coran et Celui de la Bible apparaissent clairement comme
deux êtres antagoniques. Vous avez d’un côté le Dieu d’Israël et de l’autre
celui des anciens Mecquois, Houbal, qui s’est caché derrière Dieu. Sourate
2:131 déclare :

« S’ils (juifs et chrétiens) adoptent votre croyance, ils sont dans le
chemin droit ; s’ils s’en éloignent, ils font une scission avec vous ; mais
Dieu vous suffit, il entend et sait tout. »

Pourtant d’autres textes, comme sourate 3 : 55, font l’éloge de ceux qui
croient en Jésus et qui le suivent. Par ailleurs, il y a très peu de différence
dans le fond entre le judaïsme et l’islam. Cette différence réside
principalement dans le fait que les juifs ne reconnaissent pas Mahomet
comme prophète et rejettent du même coup le Coran. Ces deux religions
sont plus proches l’une de l’autre que du message pacifique du Christ.
Pourtant Sourate 4:50 dit ceci :

« Vous qui avez reçu les Écritures, croyez en ce que Dieu fait
descendre du ciel pour confirmer vos livres sacrés, avant que nous
effacions les traits de vos visages et que nous les rendions unis comme
le derrière de vos têtes. »

Quelle violence verbale ! On croirait entendre le Diable. Il serait bien que les
croyances concordent. Qui ne le souhaite pas ? Malheureusement, les
évangiles et le Coran sont incompatibles. On ne peut pratiquer parfaitement
l’un sans enfreindre l’autre.




Contradictions sur la mort de Christ, les seules raisons avancées




Certains affirment qu’il ne fut pas mis à mort puisqu’il apparut dans la chair
plus d’une fois à ses disciples et qu’il mangea avec eux et pouvait être
touché.

Certes, on ne peut toucher un être spirituel quand il s’agit d’une apparition,
d’une image mentale, car elle est construite par le cerveau, mais Jésus n’était
pas une image mentale, pas plus que Lazare qu’il ressuscita. Ceux qui
avancent ces raisons n’ignorent pourtant pas que des anges matérialisés
pouvaient être touchés et prendre des repas comme des humains. Genèse 18
relate que trois anges se matérialisèrent et mangèrent avec Abraham.

Si le Christ ressuscité n’était qu’un corps physique, comment aurait-il pu
pénétrer dans la pièce, alors que les portes et les fenêtres étaient fermées ?
Donc Il pouvait prendre les deux aspects. Jésus déclara :

« De même que Jonas a été trois jours et trois nuits dans le
ventre de l’énorme poisson, de même que le Fils de l’homme sera
dans le cœur de la terre, trois jours et trois nuits. » Matthieu
12:40.

À cause de ces paroles, certains affirment que Jésus devait être vivant dans le
tombeau, puisque Jonas était conscient dans le ventre du poisson et que, par
conséquent, il n’a jamais été tué. Mais la comparaison que fit Jésus s’arrêta
au nombre de jours. Il ne conviendrait pas d’aller plus loin.

Nous ne pouvons pas nous baser sur le fait que Jonas fut conscient ou
inconscient pour juger de l’état dans lequel se trouvait Jésus durant ces trois
jours. Nous ne pouvons pas, par exemple, nous baser sur l’idée que Jonas
devait avoir froid et faim pour déterminer de la condition physique de Jésus
dans la tombe.



Apparemment, ce n’est pas la condition physique que Jésus voulait mettre en
avance, mais le nombre de jours. Nous n’avons pas non plus de preuve pour
mettre en doute le nombre de jours qu’il passa dans la tombe. Les
catholiques affirment que Marie revînt le dimanche matin qui suit le
vendredi de Pâques pour s’occuper de sa tombe. Ce qui est faux. Nous
devons prendre en compte la durée de ce sabbat. Il commença le 14 Nisan et
dura sept jours, soit jusqu’au 21 Nisan. On en trouve les prescriptions dans
l’Ancien Testament (Lévitiques 23) :

« Au premier mois, le quatorzième jours du mois, entre les deux soirs,
c’est la pâques pour Yahweh. Et le quinzième jour du mois, c’est la fête
des gâteaux sans levain pour Yahweh. Pendant sept jours vous devez
manger des gâteaux sans levain. Le premier jour vous aurez un sain
rassemblement. Vous ne pouvez faire aucun travail pénible d’aucune
sorte. Mais vous devez présenter un sacrifice par le feu pour Yahweh
pendant sept jours… »

Les deux Marie ne pouvaient faire aucun travail avant le 21 Nisan, qui est la
fin du sabbat. Pousser la pierre qui scella l’entrée de la tombe avant cette
date aurait été une violation du sabbat. Elles ont donc dû attendre une
semaine. De toute manière, le tombeau était sous surveillance pendant
probablement trois jours, afin d’empêcher que les disciples du Christ
enlevassent le corps. Matthieu déclare :

« Le lendemain, jour qui suivait la préparation, les prêtres en chef et les
pharisiens s’assemblèrent devant Pilate et dirent : ‘Seigneur, nous nous
sommes rappelés que cet imposteur a dit, quand il vivait encore : ‘Après
trois jours je dois être relevé’.

« Ordonne donc qu’on s’assure de la tombe jusqu’au troisième jour, pour
que ses disciples ne viennent pas le dérober et ne disent pas au peuple :
Il a été relevé d’entre les morts. Cette dernière imposture serait pire
que la première.

« Pilate leur dit : ‘vous avez une garde. Allez ! Assurez-vous en, comme
vous savez le faire. Ils allèrent donc et s’assurèrent de la tombe, en
scellant la pierre et en laissant la garde. Après le sabbat, comme le
premier jour de la semaine commençait à luire, Marie Madeleine et



l’autre Marie vinrent regarder la tombe… » Matthieu 27:62 à 66 et
Matthieu 28:1.

L’expression « premier jour de la semaine » ne voulait pas dire deux ou trois
jours après le 14 Nisan, mais le premier jour de la semaine qui suit la fin du
sabbat de sept jours. Donc, ceux qui accusent Jésus de se tromper parce qu’il
aurait passé moins de trois jours dans la tombe ne cherchent qu’à induire les
autres en erreur.



Des musulmans utilisent Hébreux 5:7 pour dire que Dieu écouta en fin de
compte la prière de Jésus et lui permit d’échapper à la mort. Ce texte dit :

« Aux jours de sa chair, Christ a offert des supplications ainsi que des
requêtes à Celui qui pouvait le sauver de la mort – avec des cris
puissants et des larmes, et il a été entendu favorablement pour sa
crainte de Dieu. »

Selon eux, puisqu’il a été entendu favorablement, c’est qu’il ne fut pas mis
pas mort. Mais Jésus dans sa prière, avait-il demandé à ne pas mourir ?
Lisons ce passage :

« Et s’avançant un peu, il tomba sur sa face, priant et disant : "Mon
Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. Toutefois, non
pas comme je veux ; mais comme tu veux". » Matthieu 26:39.

Jésus dit bien : « Si cela est possible ». Or les prophéties étant ce qu’elles sont,
Dieu n’avait pas jugé bon de trouver un aménagement à leur réalisation. En
effet, ce que Jésus craignait, ce n’était pas la mort, mais la souffrance. Certes,
Dieu a trouvé un compromis pour lui éviter des souffrances inutiles, en
évitant qu’on lui brisât les genoux, mais cela reste conforme aux prophéties
qui avaient été annoncées (Exode 12:46).

Jésus a-t-il été sauvé de la mort, comme le dit le texte ? Oui, dans la mesure
il n’y resta que quelques jours. L’auteur n’a pu le dire que dans ce sens, car
quelques textes auparavant, en Hébreux 2:9, il montra que Jésus fut exécuté
dans la souffrance, en disant :

« Mais nous voyons Jésus, qui a été abaissé quelque peu en-dessous des
anges, couronné de gloire et d’honneur pour avoir souffert la mort, afin
que par la faveur imméritée de Dieu il goûte la mort pour tout homme. »
Hébreux 2:9

Ces personnes s’arrangent également pour faire passer Jésus pour quelqu’un
qui n’aurait pas hésité à égorger ses semblables afin d’assouvir ses ambitions
politiques immédiates. Je revois encore un certain Deedat en train
d’haranguer le public, disant : De qui sont ces paroles : « Mais ceux-là, mes
ennemis, qui n’ont pas voulu que je devienne roi sur eux, amenez-les moi
ici et égorgez-les devant moi. » ?

Ce sont effectivement des paroles de Jésus relatées dans Luc 19:27. Mais ce
que ce prédicateur a omis de préciser à la foule, c’est qu’il s’agissait d’une
illustration faite par Jésus. Elle commence en ces termes au verset 11 :

« Pendant qu’il écoutait cela, il dit encore une illustration…Il dit donc :
« Un certain homme de haute naissance se rendit dans un pays lointain
pour se faire investir du pouvoir… »

L’illustration se termine avec ces paroles de Luc 19:27 que nous avons lues :
« Mais ceux-là, mes ennemis, qui n’ont pas voulu que je devienne roi sur
eux, amenez-les moi ici et égorgez-les devant moi. » ? Ce prédicateur a
bien pris soin de sortir ces paroles de leur contexte pour induire les autres en
erreur. Ce manque d’objectivité illustre bien l’essence de sa prédication :
transformer la vérité en mensonge et inversement. Le voir faire le geste
d’égorgement en public était choquant.

Jésus n’a fait que dresser un tableau réaliste du comportement des rois de
son temps. Il n’ignorait pas que son royaume serait céleste. « Mon royaume
n’est pas de ce monde », dit-il. Par ailleurs Jésus devait savoir que régner en
tant qu’être humain sur Israël, sous le régime de Satan, reviendrait à partager
son pouvoir. On peut lire ceci en Jean chapitre 6:15 :

« Jésus donc, sachant qu’ils allaient venir s’emparer de lui pour le faire
roi, se retira de nouveau dans la montagne, tout seul. »

Même si tous les juifs l’avaient reconnu comme Messie, Jésus n’aurait pas été
un chef militaire, mais un dirigeant religieux, un conseillé, un homme de
paix. Exactement tel qu’il était. Il savait que Jérusalem allait être détruite
parce que les juifs refusaient de vivre en paix avec l’occupant romain. Cela se
remarquait à travers les paroles prophétiques qu’il tenait contre la ville en
Luc 19:42 à 44 :

« …Si toi aussi tu avais discerné, en ce jour, les choses qui concernent la
paix – mais maintenant elles ont été cachées à tes yeux. Parce que ces
jours viendront sur toi, où tes ennemis construiront autour de toi une
fortification avec des pieux taillés, et t’encercleront, et te presseront
de toutes parts et ils te jetteront par terre, toi et tes enfants au-
dedans de toi ; et ils ne laisseront pas en toi une pierre sur une pierre,
parce que tu n’as pas discerné le temps où tu as été inspecté. »

Donner à tort l’image d’un égorgeur à celui qui enseigna à ne pas rendre le
mal pour le mal, à aimer ses ennemis et à prier pour ses persécuteurs, c’est se
découvrir comme un véritable antéchrist.









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NOTE DU BLOGMASTER DE SONDEZ LES ÉCRITURES
Le taux de visites sur mon blog a dramatiquement baissé depuis que j'ai suspendu mon publi-postage sur ma première page Facebook. J'ai fais cela car malgré mon avertissement aux abonnés de ne poster que des textes chrétiens et de belles pensées, plusieurs s'en sont moqué et y ont posté des publicités pour des articles de consommation, des blagues grossières ainsi que du contenu pornographique. Outré par leur attitude, j'ai tout arrêté sur cette page Facebook, car le prédicateur que je suis ne tient pas à être associé à de telles pratique. Mais du coup, le blog Sondez Les Écritures est en perte de vitesse et de fréquentation. Je demande donc aux quelques lecteurs fidèles qui me reste, de publier sur les murs de leurs divers plate-formes de partage, de publier les liens menant vers mon blog directement sur la page générale ou vers leurs articles préférés figurant sur mon blog. Vous pouvez aussi envoyer les liens à vos contacts par l'intermédiaire de vos messageries électroniques et leurs demander de les faire circuler auprès de leurs propres contacts. Vous pouvez en parler également sur des forums ou des mailinglist chrétiens auxquels vous êtes abonnés, ou même inclure le URL www.sondezlesecritur.com dans la signature électronique de vos messageries électroniques en mentionnant que ce blog est l'un de vos préférés. Vous pouvez également en parler aux membres de vos églises respectives et publier certains des textes qui vous ont plu dans vos journaux et ou buletins d'église en n'oubliant pas d'y mentionner chaque fois le URL www.sondezlesecritur.com. Avec toutes ces technique proposées ci-avant, je ne doute pas qu'ensemble, nous feront bientôt recroître le nombre de visiteurs qui connaissent déjà Jésus et qui l'ont accepté comme Sauveur et Seigneur, ainsi que des non-croyant en recherche du salut gratuit offert par Dieu au âmes perdues !Je ne suis absolument pas rémunéré pour le travail que j'y accomplis avec ardeur et dévouement. Ma seule récompense est de voir le nombre de visites et les éventuels commentaires positifs déposés sur mon blog. Votre aide est donc pour moi une prière ardente adressée à votre charité chrétienne afin que l'envie de poursuivre ici mon travail persiste en mon coeur.
Bien amicalement et fraternellement vôtre, Pascal Cusson, allias Vorax, prédicateur et enseignant biblique, pour la plus grande gloire de Dieu, Amen !
Merci sincèrement d'avance pour votre aide !


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