Que deviennent les morts ?
Que deviennent les morts ?
Le fait que les hommes meurent est un accident de parcours dû à la
désobéissance du premier couple d’humains. Les paroles de condamnation
que Dieu prononça à leur encontre portent à croire qu’ils n’avaient pas été
destinés, eux et leurs descendants, à vivre quelques années sur terre et à
mourir pour se rendre dans une autre dimension. La sentence qui fit suite à
leur désobéissance fut celle-ci :
« Vous êtes poussière, vous retournerez à la poussière, car c’est de là
où vous avez été tirés. »
Le « vous » représente l’être tout entier qui vit et non pas seulement son
corps. La personne toute entière est donc retournée à la poussière, à
l’inexistence comme avant d’avoir été créé. Mais Dieu a le pouvoir de
ramener à la vie ceux qu’Il en trouve dignes.
En dépit de ces paroles, nombre d’humains croient que seule l’enveloppe
charnelle périt, et que la personne continue à vivre dans un monde parallèle.
Or ce n’est absolument pas ce que Dieu avait dit. Là encore il y a opposition.
En fin de compte, Adam et Eve finirent par mourir, contrairement aux
promesses de Satan, lequel avait promis qu’ils seraient comme Dieu.
Cependant, malgré l’évidence de leur sort, le Diable et les démons persistent
dans leur mensonge, faisant croire à leurs descendants qu’une partie d’eux
sera immortelle, et qu’elle continuera de vivre dans un monde parallèle. Les
manifestations démoniaques dans les maisons hantées, où les démons se font
passer pour des revenants, nourrissent cette fausse croyance.
S’il en était ainsi, Lazare, que Jésus ressuscita après trois jours, en aurait fait
part aux apôtres, et ceux-ci auraient rectifié leur point de vue sur la mort.
Or, ils continuèrent d’enseigner que ceux qui sont décédés attendent dans la
tombe jusqu’aux jours de la résurrection. Il suffit de lire I Thessaloniciens
chapitre 4 verset 15 à 17 pour s’en convaincre. D’autre part, l’apôtre Pierre
déclara ceci dans le livre des Actes des apôtres :
« En effet, David n’est pas monté au ciel (…) » Actes 2:34. Jésus lui-
même déclara en Jean 3:13 : « Aucun homme n’est monté au ciel (…). »
Cela signifie que les êtres disparus avec lesquels certains croient entrer en
communication sont en réalité des démons. Dieu déclara par l’intermédiaire
de Moïse :
« On ne devra trouver chez toi (…) personne qui emploie la divination, ni
magicien, ni quelqu’un qui cherche des présages, ni sorcier, ni celui qui
ensorcelle autrui par un sortilège, ni quelqu’un qui consulte un médium, ni
individu faisant métier de prédire les événements, ni quelqu’un qui
interroge les morts.
« Car quiconque fait ces choses est une abomination à l’Eternel, et c’est
à cause de ces choses détestables que l’Eternel, ton Dieu, les expulse
de devant toi. » Deutéronome 18:10 à 12.
Puis il leur dit en lévitique 20:27 :
« Et quant à l’homme ou à la femme en qui se trouve l’esprit d’un mort ou
un esprit de divination, ils seront punis de mort ; on les lapidera (…) »
(voir aussi Isaïe 8:19).
D’autres points de comparaison
La contradiction entre la Bible et le Coran ne se limite pas à la seule histoire
de Joseph. Pour le Coran, Jésus n’a jamais été mis à mort :
« Non ils ne l’ont point tué, lit-on en Sourate 4:156 ; ils ne l’ont point
crucifié, un autre individu qui lui ressemblait lui fut substitué, (…) Ils ne
l’ont point tué réellement, Dieu l’a élevé à lui, et Dieu est puissant et
sage. »
Comme par hasard, cet enseignement faisait partie des croyances
nazaréennes. Si Jésus n’avait pas été éprouvé jusqu'à la mort conformément
aux prophéties, pourquoi parlerait-on de rançon ? Or le dessein de Dieu vis
à vis de l’humanité est lié au sacrifice messianique.
Dans la vision de l’Apocalypse, parlant de Jésus, l’ange déclara : « Voici ce
que dit le premier et le dernier, celui qui était mort et qui est revenu à
la vie. »
Le Coran s’oppose ici à un livre dont on ne peut douter du caractère
prophétique. A l’évidence, l’un des deux livres ne dit pas la vérité. Si donc
Jésus n’avait pas été tué, cet ange envoyé par Dieu aurait menti et cela aurait
remis en cause non seulement l’Apocalypse, mais aussi les livres prophétiques
qui avaient annoncé sa mort, comme le livre d’Isaïe, les Psaumes, et le livre
de Daniel. Ce dernier dit :
« Après les soixante-deux semaines Messie sera retranché sans
successeur et le peuple d’un guide qui vient ravagera la ville et le lieu
saint ». Daniel 9:26.
Est-il possible que seule la seconde partie de la prophétie se soit réalisée avec
la destruction de Jérusalem et de son temple par les romains en l’an 70, mais
pas la première partie, celle qui annonçait la mort du Christ ?
Réfléchissez un instant : Dieu aurait-il fait preuve de justice en faisant mourir
un autre homme à la place du Christ ? Et pourquoi cet individu aurait-il
accepté d’être supplicié plutôt que dire qu’il n’était pas Jésus ? Pourquoi sur
le poteau de supplice appela-t-il Marie sa mère ? Jean, l’un de ses disciples,
était également présent, nous dit la Bible. Le Coran a-t-il vraiment été
descendu du ciel, ou de la bouche des Nazaréens ?
La notion même de sacrifice oblige à subir une perte. Mais quelle perte aurait
subi Dieu s’Il sacrifiait un humain imparfait destiné à mourir dans quelques
années ? Mahomet et les nazaréens ne comprenaient pas les choses
profondes de Dieu. Ne possédant pas les livres prophétiques, ils ignoraient
comme Mahomet que le Messie devait mourir. La notion de rachat du péché
de l’humanité, de rançon, n’effleurait même pas leur pensée. Il leur était
alors plus facile de prétendre qu’il n’était pas mort. Mahomet n’était autre
que leur porte-parole.
Selon le Coran, David a été appelé au ciel pour régler des différents entre
humains :
« ... (David) demanda pardon à Dieu de son crime ; il se prosterna et se
repentit. Nous lui pardonnâmes ; nous lui accordâmes dans le Paradis
une place près de nous, et une belle demeure. Ô David ! Nous t’avons
établi notre lieutenant sur la terre ; prononce donc dans les différents
des hommes avec équité (...) « Salomon aussi occupe une place proche de
nous, et jouit de la plus belle demeure. » Sourate 38:24 et 39.
Quelle fabulation ! Or, Jésus et le livre de l’Apocalypse nous apprennent que
nul homme n’est monté au ciel, et que les prémices qui attendent encore
dans la tombe seront les premiers humains à être ressuscités. Jésus déclara en
Jean 3 : 13 que « personne n’est monté au ciel (…) » Les premiers chrétiens
n’auraient aucun intérêt à inventer un texte qui ne les favorise pas. Cela ne
sert à rien de brandir le prétexte de falsification à chaque fois que le Coran
est pris à défaut.
Ce livre, qui prétend pourtant répondre à toutes nos questions, se trouve
dans l’incapacité de dire aux musulmans avec certitude ce qu’il adviendra
d’eux après leur mort. C’est la confusion, le flou. Tantôt il répond après la
Bible qu’ils attendent la résurrection, tantôt ils sont dans le ciel. Cette
incohérence fautive témoigne des limites de ceux qui ont décidé d’écrire un
livre sacré en jetant des bouts de phrases par-ci par-là, sans aucun plan. Dieu,
Lui, a un dessein. Tout est tracé par avance et prophétisé. Dans les hadiths il
ne fait aucun doute que Mahomet croyait que les gens étaient déjà au ciel. Il
aurait déclaré :
« Une personne qui meurt et qu’Allah a jugé bon d’amener dans l’au-delà
ne souhaiterait pas revenir ici-bas, même si on lui donnait le monde et
tout ce qu’il contient ; sauf le martyr qui, voyant la supériorité du
martyr, aimerait revenir au monde pour se faire tuer de nouveau. » Bin
Malik vol.4 No 52.
Encore la mort, toujours la mort en rapport avec la guerre. Ces mensonges
étaient uniquement de nature à enlever toute peur aux soldats pendant les
combats. Aujourd’hui encore ils conduisent à des actes de kamikaze.
Une description terrifiante de l'Enfer
Un ange aurait raconté à Mahomet dans un hadith :
« Je te jure par celui qui t’a envoyé, avec la vérité, que si une petite
ouverture de la taille d’une aiguille avait été faite à l’Enfer, alors tous
les gens de cette vie auraient été brûlés par sa chaleur. Et je jure par
Celui qui t’a envoyé, avec la vérité, que si l’un des habits des gens de
l’Enfer avait été accroché entre le ciel et la terre, alors tous les gens
de la terre auraient succombé à sa mauvaise odeur et à sa chaleur. »
Rapporté par Yazid Arrafichi venant d’Anas ibn Malec.
Que dire de plus ? Même nos enfants auraient de la peine à croire à ces
mensonges. Comment un ange pourrait-il jurer par Dieu que de telles paroles
sont véridiques ? Comme pour le Coran, il n’y a aucune preuve de la
véracité de ce hadith.
Néanmoins, imaginons la peur qui devait régner chez les contemporains de
Mahomet avec l’enseignement de l’Enfer. Si douter de ce qu’il leur disait leur
vaudrait un tel enfer, n’importe quel croyant aurait conditionné son esprit à
accepter sans réfléchir et sans réserve tout ce que Mahomet racontait. Se
faire éventrer par l’épée de l’ennemi deviendrait alors un moindre mal face à
l’éventualité de cet enfer éternel.
Leur souffrance ne durerait pas mille ans, un million d’années, ou même cent
milliards d’années, mais durant l’éternité. Pourquoi ? Pour avoir, entre
autres, tenté de sauver leur vie en battant en retraite sur un champ de
bataille pour échapper à une mort certaine. Pensons-nous qu’une telle
punition soit digne d’un Dieu compatissant, juste et miséricordieux ?
Aujourd’hui, aucun musulman ne sait où se trouve Mahomet. Est-il en Enfer
jusqu’à ce que la faveur d’Allah le touche, comme il l’aurait dit lui-même
dans des hadiths ? Est-il au paradis ? Attend-t-il dans la tombe le jour de la
résurrection ? Aucun musulman sur cette terre ne peut y répondre en se
basant sur des textes coraniques sans se contredire.
Le dieu dont Mahomet nous brosse le portrait est un juge sans pitié, et
terriblement effrayant. En réalité, le rédacteur semble projeter son propre
caractère rugueux sur celui du Créateur dont il n’a qu’une vague idée.
Derrière quelques appels à faire le bien, ce qu’un homme sait naturellement,
semble se cacher un être qui est loin d’être gentil, compatissant, juste et plein
d’amour. Cette description faite d’Allah ne correspond pas au Dieu des
Evangiles et à Celui de l’Ancien Testament, au sujet duquel la Bible dit :
« …Il est bienveillant et compatissant, patient et d’une immense bonté.
Il ne fait pas constamment des reproches, Il ne garde pas des
ressentiments pour des temps indéfinis. » Psaumes 103:8 et 9.
Il déclara aux israélites qui s’adonnaient aux pratiques consistant à passer
leurs nourrissons par le feu au faux dieu Moloch, qu’Il n’avait pas ordonné
ces actes, et que cela ne lui était même pas venu à la pensée (voir Jérémie
7:31). Il a employé l’expression « de telles horreurs » pour les qualifier
(Jérémie 32:35).
Si on s’en tenait à ces paroles, le Coran aurait accusé le Créateur de pratiquer
ces horreurs, car c’est bien le terme que Dieu employa pour qualifier le fait
de passer un être vivant par le feu.
Qu’est-ce qui pourrait être plus terrifiant que l’Enfer de Mahomet ? Rien,
absolument rien. Et si les gens venaient à implorer un quelconque
soulagement, selon sourate 18:29, « On leur donnera une eau semblable à
du métal fondu qui leur brûlera le visage. Quel terrible breuvage !... »
Mais quel terrible mensonge ! Pouvons-nous croire que ces paroles viennent
du Dieu qui déclare qu’il ne prend aucun plaisir à la mort du méchant
(Ezéchiel 33:11) ? Ferait-il brûler réellement un soldat de Mahomet en Enfer,
parce que celui-ci avait fui sur un champ de bataille pour échapper à une
mort certaine ? Notre Créateur serait-Il un affabulateur ne cherchant qu’à
effrayer les humains, ou est-ce Mahomet qui est derrière ces menaces pour
mieux dominer les autres et motiver ses soldats ?
Aucun être capable d’empathie et sachant ce qu’est la douleur n’agirait tel
que Mahomet le prête au Créateur, même pas le Diable. Rien qu’à travers le
châtiment de l’Enfer, parfois pour des motifs qui ne relèvent même pas du
péché, comme le fait de refuser d’adorer Adam, ou fuir sur un champ de
bataille, je savais que le Coran était une construction humaine. Il n’y a aucun
doute à ce sujet.
Si nous ne parvenons pas à voir que l’Enfer coranique est un mensonge
destiné à créer l’effroi chez les croyants pour obtenir leur soumission, alors le
problème n’est même plus Mahomet, mais notre degré de crédulité.
Même des enfants condamneraient l'Enfer coranique!
Même si la description de l’Enfer trouvée dans les hadiths entrait dans la
catégorie des légendes racontées aux enfants occidentaux, non seulement la
majorité d’entre eux le trouverait peu plausible, mais ils qualifieraient de
« méchant » l’être capable de faire boire du métal fondu à quelqu’un qui a
soif. Pourtant des adultes se sentent obligés d’y croire de peur de subir ce
châtiment que leur a décrit Mahomet.
Posons-nous cette question : avons-nous plus de bonté, et sommes-nous plus
justes que Dieu ? Certainement pas. Pourtant agirions-nous comme le Coran
le prête au Créateur ? Celui qui répond par l’affirmative à cette question doit
s’empresser de consulter un très bon psychiatre, car il est mentalement
dérangé et dangereux. J’ose croire que nulle personne sur cette planète,
même au plus profond de sa folie, ou de son sadisme, ne pense pouvoir faire
cela à un être vivant, même pas à un rat, ou à une mouche.
Or si cette révélation est fausse, et elle l’est incontestablement, quelle
assurance avons-nous que le reste soit véridique ? Mahomet avait-il
réellement vu l’ange Gabriel dans la grotte ? Lui parlait-il pendant 23 ans ?
Lorsqu’un tel livre affirme que la Bible est falsifiée, sans pouvoir préciser les
parties, ou nous dire quels livres ne sont pas falsifiés, son accusation devient
douteuse.
L’enseignement de l’Enfer, appris au contact des grecs, et celui de la
réincarnation, sévissaient du temps de Jésus. Hérode y croyait. Même si Jésus
n’a pas employé le terme Enfer, il s’est servi d’une illustration pour montrer
qu’après la mort on ne peut plus revenir en arrière pour faire un nouveau
choix, et que la décision de servir Dieu doit être prise de son vivant. Ce
n’était qu’une image, car l’Enfer n’est pas supposé être accolé au paradis de
sorte que les gens puissent se voir et se parler.
Par ailleurs, Jésus a fait comprendre aux gens de son époque qu’aucun être
humain n’est monté au ciel. Si Lazare avait été conscient dans un paradis
durant les trois jours de sa mort, entouré d’houris, selon la tradition
musulmane, il aurait préféré y rester. Son témoignage aurait porté Jésus et
ses disciples à revenir sur l’enseignement selon lequel les morts attendent
inconsciemment dans la tombe le jour de leur résurrection.
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NOTE DU BLOGMASTER DE SONDEZ LES ÉCRITURES
Le taux de visites sur mon blog a dramatiquement baissé depuis que j'ai suspendu mon publi-postage sur ma première page Facebook. J'ai fais cela car malgré mon avertissement aux abonnés de ne poster que des textes chrétiens et de belles pensées, plusieurs s'en sont moqué et y ont posté des publicités pour des articles de consommation, des blagues grossières ainsi que du contenu pornographique. Outré par leur attitude, j'ai tout arrêté sur cette page Facebook, car le prédicateur que je suis ne tient pas à être associé à de telles pratique. Mais du coup, le blog Sondez Les Écritures est en perte de vitesse et de fréquentation. Je demande donc aux quelques lecteurs fidèles qui me reste, de publier sur les murs de leurs divers plate-formes de partage, de publier les liens menant vers mon blog directement sur la page générale ou vers leurs articles préférés figurant sur mon blog. Vous pouvez aussi envoyer les liens à vos contacts par l'intermédiaire de vos messageries électroniques et leurs demander de les faire circuler auprès de leurs propres contacts. Vous pouvez en parler également sur des forums ou des mailinglist chrétiens auxquels vous êtes abonnés, ou même inclure le URL www.sondezlesecritur.com dans la signature électronique de vos messageries électroniques en mentionnant que ce blog est l'un de vos préférés. Vous pouvez également en parler aux membres de vos églises respectives et publier certains des textes qui vous ont plu dans vos journaux et ou buletins d'église en n'oubliant pas d'y mentionner chaque fois le URL www.sondezlesecritur.com. Avec toutes ces technique proposées ci-avant, je ne doute pas qu'ensemble, nous feront bientôt recroître le nombre de visiteurs qui connaissent déjà Jésus et qui l'ont accepté comme Sauveur et Seigneur, ainsi que des non-croyant en recherche du salut gratuit offert par Dieu au âmes perdues !Je ne suis absolument pas rémunéré pour le travail que j'y accomplis avec ardeur et dévouement. Ma seule récompense est de voir le nombre de visites et les éventuels commentaires positifs déposés sur mon blog. Votre aide est donc pour moi une prière ardente adressée à votre charité chrétienne afin que l'envie de poursuivre ici mon travail persiste en mon coeur.
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