Apposer un sceau sur visions et prophètes


Que signifie apposer un sceau sur vision et prophète ? Dans la Bible, sceller
une prophétie, c’est la rendre inaccessible à la compréhension. Sceller vision
et prophète, en revanche, tout comme sceller la Bible, c’est mettre un terme
à la série des prophètes et des visionnaires ; c’est ne plus rien y ajouter ou
retrancher. Le baptême de Jésus en l’an 29 a donc mis fin à la venue de
nouveaux prophètes et de nouveaux visionnaires.

La prophétie de Zacharie, un autre prophète, montre plus clairement que le
Messie était le dernier prophète. Dieu déclara :

« Et vraiment je répandrai sur la maison de David et sur les habitants
de Jérusalem l’esprit de faveur et de supplications ; oui ils regarderont
vers celui qu’ils ont transpercé, et ils se lamenteront sur lui comme dans
les lamentations sur un fils unique ». Zacharie 12:10.

« En ce jour-là il y aura une source ouverte à la maison de David et aux
habitants de Jérusalem pour le péché et pour la chose dégoûtante. Oui,
il arrivera en ce jour-là, c’est ce que déclare l’Eternel des armées, que
je retrancherai du pays le nom des idoles, et on ne s’en souviendra plus ;
de même les prophètes et l’esprit d’impureté. »

« Oui, il arrivera que si un homme prophétise encore, alors son père et
sa mère, ceux qui l’ont engendré, ne manqueront pas de lui dire : ‘Tu ne
vivras pas, car c’est un mensonge que tu as proféré au nom de Yahvé.
Oui, son père et sa mère, ceux qui l’ont engendré, le transperceront
parce qu’il prophétise. »

« Oui, il arrivera en ce jour-là que les prophètes prendront honte,
chacun de sa vision quand il prophétisera ; et ils ne revêtiront pas un
vêtement officiel afin de tromper. Et à coup à coup sûr il dira :’je ne
suis pas prophète…» Zacharie 13:1 à 5.

Jésus ne s’est jamais glorifié en disant : Je suis le dernier prophète. Il était
plus que cela. En revanche, il déclara en Matthieu 11:13 au sujet de Jean-
Baptiste : « Car tous les prophètes et la loi ont prophétisé jusqu'à
Jean ». Etant de la même génération que Jésus, on peut dire que depuis le
milieu de premier siècle il n’y a plus eu de nouveaux prophètes de Dieu.
Jean, qui a écrit le livre de l’Apocalypse, est né avant l’an 29.

Pourtant, après la mort du Christ, quelques-uns se sont déclarés « dernier
prophète », afin de tromper, comme le dit la prophétie. Jésus déclara : « Il
se lèvera de faux prophètes (…) qui en égareront beaucoup. » Le terme
« beaucoup » montre qu’ils seraient crédibles, et surtout très efficaces.

Mais le plus grand d’entre eux, l’antéchrist, sera toujours celui qui aura
entraîné à sa suite le plus grand nombre d’adeptes, donc le plus convaincant,
tout en s’opposant au message pacifique du Christ, oui, celui qui
commandera de tuer ceux qui se convertissent pour suivre ses traces. Il n’y
en a eu qu’un seul. Sa croyance en Christ n’est que tromperie.

Comment peut-on croire en quelqu’un qui osa déclarer, dans le but de se
rehausser, que Dieu, Lui-même, prie pour lui. On voit mal le Créateur en
train de prier quelqu’un pour demander quoi que ce soit. Cette preuve, à
elle seule, aurait dû suffire à révéler que tout est faux et inventé. Mais les
défenseurs de Mahomet finiront toujours par le tirer d’affaire.

Des gens de l’époque de Mahomet, comme Talha bin Khoiled, Musilema et
d’autres, se disaient également prophètes. Mais si Mahomet, contrairement à
eux, ne finit pas dans l’oubli, ce n’était pas grâce à l’irréfutabilité de ses idées,
mais grâce à sa force militaire.

Quiconque contestait ouvertement son titre de prophète, ou s’opposait à ses
idées, avait peu de chance de finir tranquillement sa vie. Ceux qui
embrassèrent sa religion, de gré ou de force, ne pouvaient plus s’en défaire.
Même leurs enfants devenaient propriétés de cette religion, cela comme des
esclaves. C’est l’esclavage spirituel dont parle le livre prophétique de
l’Apocalypse. Les nombreuses victoires de Mahomet sur les champs de
batailles conduisirent également à celle de ses opinions religieuses.

Dieu a trop de respect pour Lui-même et pour notre liberté pour nous forcer
à prendre position pour son royaume. Lors du déluge, Noé et sa famille
forcèrent-ils les gens à pénétrer dans l’arche ? Non. Leur seule arme était leur
prédication. Jésus a déclaré en Matthieu 24:37 : « Ce qui arriva du temps
de Noé arrivera de même à l'avènement du Fils de l'homme. »

Quelle gloire et quelle mérite reviendrait au Créateur s’Il forçait les gens à
prendre position pour Lui ? Cette initiative brutale aurait paru abusive aux
yeux de l’adversaire de Dieu, Satan, lui qui n’a pas le droit d’agir ainsi envers
l’humanité. Le fait de ne pas comprendre le contentieux qui oppose Dieu à
Satan depuis Eden, rend les musulmans extrêmement vulnérables aux
mensonges de cet homme malicieux.

L’habilité avec laquelle il contourna les interdictions divines pour permettre à
ses soldats d’avoir des relations sexuelles avec d’autres femmes lors de ses
campagnes militaires, en autorisant le mariage temporaire, ou mariage de
plaisir, montre qu’il savait comment contourner les interdits de Dieu lorsque
cela n’allait pas dans son sens. Les versets qui, soi-disant, descendaient du ciel
et qui lui permettaient toujours de s’en tirer, quitte à bannir l’adoption,
descendaient plutôt de son imagination. Un ex-musulman, devenu
agnostique a fait cette déclaration sur internet :

« Si on compare Dieu avec les meilleurs et les plus nobles des humains à
travers l’histoire, on en arrive à la conclusion que Dieu ne ferait même
pas un bon être humain. »

En réalité, il parle du dieu que lui a décrit Mahomet, et qui est le reflet de sa
propre personne : injuste, cruel, sans la moindre compassion. Mahomet
parle d’Allah comme d’un Dieu compatissant ; mais ce ne sont que des mots,
car il n’y a pas un seul endroit dans le Coran où Allah a fait preuve de
compassion, pas en une seule occasion.

Même les justes devront passer quelques temps en Enfer, selon lui. Pour celui
qui fuit sur un champ de bataille pour sauver sa vie, c’est l’Enfer éternel qui
l’attend. Où est l’amour d’Allah ? Où est sa justice ? Où est l’empathie dont
Dieu nous a dotés. Serait-Il Lui-même privé de ces qualités ?

L’homme qui perd la vie au cours d’une razzia, ou au cours d’un raid
nocturne sur un village, attaque dont le but est de piller, violer, tuer ; c’est
lui, selon le Coran, qui est supposé prendre ses repas avec Dieu à sa table, et
non la petite fille et le petit garçon qu’il a tués. Comment est-ce possible ?
Pourquoi ne peut-on pas voir que tout cela est faux ?

Le Dieu de Mahomet n’est pas le bon. Il parle au nom de celui des anciens
Mecquois. Il nous a fait croire que les propriétaires invisibles ont été chassés.
Or c’est faux. C’est vers eux que nous nous prosternons lorsque nous
voulons nous adresser à Yahweh, le Dieu des juifs, le Dieu d’Abraham, de
Jésus et des prophètes, Celui qui a un nom propre qui Le distingue des
autres. Quel est celui d’Allah ? S’il vous disait son vrai nom, seriez-vous
encore musulmans ?