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Sondez Les Écritures
26 octobre 2019

L’idolâtrie


L’idolâtrie

L’idolâtrie est condamnée aussi bien dans le Coran que dans la Bible. Sourate
IV:116 déclare : « Dieu ne pardonnera pas le crime de ceux qui lui associent
d’autres divinités ; il pardonnera tout le reste à qui il voudra. Car quiconque
lui associe d’autres dieux est dans un égarement lointain.»

Qui peut prétendre être monothéiste et contredire ces paroles ? Le Coran
associe l’idolâtrie à un crime. Quant à la Bible, elle emploie souvent
l’expression « sales idoles pour qualifier ces statues. » Dieu dit au peuple
d’Israël :

« Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point
d’image sculptée, ni de représentation quelconque des choses qui sont
en haut dans les cieux ou qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans
les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras pas (...) etc. »
Exo. 20:3 et 4.

Le péché n’était pas de faire un dessin, ou une image quelconque d’un
animal ou d’une personne. Dieu n’est pas susceptible. Ce qu’Il condamne,
c’est l’adoration des démons à travers la vénération d’images et de statues,
de croire qu’elles possèdent une quelconque sainteté, ou qu’un esprit leur a
conféré un pouvoir bénéfique ou maléfique.

Savez-vous que sur l’Arche de l’Alliance, ainsi que sur les rideaux du
Tabernacle il y avait des représentations d’anges (chérubins) ? Dieu dit à
Moïse :

« Et tu devras faire deux chérubins d’or. Tu devras les faire en ouvrage
martelés, aux deux bouts du couvercle (…) Et les chérubins devrons
déployer leurs deux ailes vers le haut, abritant de leurs ailes le
couvercle, leurs faces l’une vers l’autre (…).

« Et tu devras faire un rideau de fil bleu, et de laine teinte en pourpre
rougeâtre, et d’écarlate de cochenille, et de fin lin retors. Il le fera,
orné de chérubins ; œuvre de brodeur. » (Exode 25:18, 20 ; Exode
26:31) .



Cependant, il ne venait pas à l’esprit des prêtres d’idolâtrer ces choses. Ce
n’est pas la fabrication d’un objet d’art représentant une personne ou un
animal qui est mauvais aux yeux de Dieu, mais leur adoration et leur
vénération.


Les subtilités de l'idolâtrie


L’idolâtrie peut être très subtile. Accorder de la sainteté à un lieu, un objet,
ou croire à tort qu’il possède un pouvoir de guérison est plus qu’une
superstition. Jésus donna à ses disciples ces conseils : « Vous ne pouvez
servir Dieu et la richesse comme des esclaves. »

Être accaparé par une recherche effrénée de richesses au point de reléguer
Dieu au second plan est une forme d’idolâtrie. Vous ne devez rien placer au-
dessus de celui qui a tout créé. Athènes, du temps des apôtres, était réputée
pour ses divinités. Cependant sur certains autels, semble-t-il, ne figuraient
que des objets de vénérations. Paul, qui prêchait dans cette ville, leur fit cette
remarque :

« Hommes d’Athènes, je vois qu’en toutes choses vous êtes, semble-t-il,
plus que les autres voués à la crainte des divinités. Ainsi, tandis que
j’examinais vos objets de vénération, j’ai même trouvé un autel sur
lequel est écrit : « A un dieu inconnu » Ce que vous révérez sans le
connaître, c’est ce que je vous annonce. Le Dieu qui a fait le monde et
(...) » etc. Actes 17:22 – 24.

Bien qu’il n’y eût aucune représentation d’un dieu, la vénération de ces
objets n’en constituait pas moins une idolâtrie. Des objets qui n’étaient pas à
l’origine fabriqués pour être idolâtrés peuvent le devenir si nous n’en
prenons garde. L’Ephod confectionné par le juge Gédéon devint un objet de
culte. La Bible dit qu’il devint ‘un piège’ pour lui et pour sa maisonnée. Ce
fut le cas du serpent que Moïse fabriqua.

Si nous vénérons un lieu parce qu’un homme y a vécu, fût-ce le Christ lui-
même, si nous le déclarons saint, à l’instar des aborigènes vis à vis de leur
« montagne sacrée », c’est de l’idolâtrie. Si certains lieux peuvent nous
souiller du fait de la présence des forces impures, aucun d’entre eux ne peut
nous sanctifier. Nous ne pouvons non plus les vénérer, car ils ne possèdent
aucun pouvoir venant de Dieu, aucune sainteté.

Quiconque est vigilant veillerait alors à ne pas introduire dans un lieu de
culte agréé par Dieu des objets ayant eu un quelconque rapport avec des
forces occultes ; car les démons pourraient revendiquer l’espace et prendre
possession du lieu.

Les objets démoniaques restent aux Démons


Nous fûmes, mes frères et sœurs, élevés dans une famille croyante. Mais un
beau jour notre cousine débarqua chez nous, car notre père venait de
construire une grande maison à étage, et une pièce lui fut attribuée. Une
nuit, alors que je n’arrivais pas à dormir, je commençai à entendre des bruits
de pas dans la maison, des allers retours incessants qui duraient des heures,
alors qu’il n’y avait personne dans le couloir.

À douze ou treize ans, j’étais plutôt effrayé, d’autant plus qu’un simple
rideau séparait ma chambre du couloir. Il en fut ainsi toutes les nuits pendant
des années et des années. Je pensais : « Mais il ne dort jamais ? » Bien
souvent j’étais conscient, mais je n’arrivais plus à bouger, c’était comme si
chaque centimètre carré de mon corps subissait une pression énorme.

Un beau jour, je décidai d’en parler à ma sœur qui, malheureusement, ne
pouvait pas y croire, jusqu’à ce qu’elle en fût elle-même victime. Ce n’est
que récemment que j’ai compris pourquoi mon père nous demandait de
nous lever à tour de rôle toutes les nuits pour lire la Bible dans la pièce
centrale qui servait de salle à manger.

Nous avons appris par la suite que cette cousine était en contact avec des
démons. Elle avait sous son lit des objets magiques supposés la protéger. Une
fois je vis dans la maison ce qu’on appelle une planchette oui-jà. Je l’avais
même surprise en train de faire un trou dans le jardin et d’enterrer quelques-
uns de ses objets magiques. Il lui arrivait même d’entrer en transe.
Finalement, mon père décida de la chasser de la maison pour mettre fin à ces
histoires. Même après son départ, ces manifestations subsistèrent, car tous ces
objets n’avaient pas disparus. C’est avec raison que Dieu donna cet ordre
aux israélites :

« On ne devra trouver chez toi (…) personne qui emploie la divination, ni
magicien, ni quelqu’un qui cherche des présages, ni sorcier, ni celui qui
ensorcelle autrui par un sortilège, ni quelqu’un qui consulte un médium, ni
individu faisant métier de prédire les événements, ni quelqu’un qui
interroge les morts.
« Car quiconque fait ces choses est une abomination à l’Éternel, et c’est
à cause de ces choses détestables que l’Éternel, ton Dieu, les expulse
de devant toi. » Deutéronome 18:10 à 12.

Puis il leur dit en lévitique 20:27 :

« Et quant à l’homme ou à la femme en qui se trouve l’esprit d’un mort ou
un esprit de divination, ils seront punis de mort ; on les lapidera (…). »

Les mecquois, par exemple, n’avaient pas que des idoles
représentant des divinités. Selon ce que l’on raconte, ils
vénéraient aussi une pierre noire qu’ils considéraient
comme sacrée. Il ne viendrait pas à l’esprit d’une
personne avisée, guidée par l’esprit de Dieu, de conserver
cette pierre dans sa maison ou dans un lieu de culte voué
au Créateur. Car les forces obscures auraient légitimement
pris possession des lieux.

Elles ont priorité lorsqu’il y a concomitance. Aucune coexistence n’est
possible. Dieu ne peut pas cohabiter avec des esprits impurs. Nous ne
pouvons avoir l’approbation de Dieu dans de telles conditions.


Un culte de déesse ne peut se prolonger dans un lieu dit saint


Certains prétendent néanmoins que cette pierre noire et tout le lieu de culte
des Mecquois, auraient été conservés pour servir de lieu saint aux
musulmans. Alors je me suis renseigné à ce sujet sur Wikipédia, un organe
non partisan. On y lit :

« La pierre noire était vénérée avant la période islamique. A l’époque de
Mahomet, elle était déjà associée avec la Kaaba, un sanctuaire
préislamique qui faisait l’objet de pèlerinage […] Une pierre rouge était
associée avec la divinité de la ville de Gaiman dans le sud de l’Arabie et
il existait une pierre blanche dans la Kaaba d’Al-Abalat (près de la ville
de Tabala au sud de la Mecque ».

Wikipédia explique que c’est Mahomet lui-même qui, âgé de 35 ans, soit 5
ans avant sa première révélation, remit la pierre à sa place après la
rénovation de la Kaaba suite à un incendie. Le texte poursuit ainsi :


« Il demanda qu’on lui apporte une étoffe et plaça la pierre en son
centre. Les ainés des clans prirent les coins du drap et l’emmenèrent au
bon endroit. Mahomet prit alors la pierre et la remit à sa place,
satisfaisant ainsi l’honneur de tous les clans. »

Dans un hadith, (Muslim livre 30 ; numéro 5654) le prophète aurait reconnu
avoir côtoyé la pierre avant d’être accepté et reconnu comme prophète par
ces contemporains, et qu’il continuait à la reconnaître (comme sainte).

Quant à moi, je suis persuadé que Le Dieu de la Bible n’aurait jamais
conservé ces infrastructures démoniaques et diaboliques des mecquois pour
en faire son lieu saint. C’est inimaginable !

Quant au Malin, pourquoi voudrait-il céder ce qui lui appartient légalement
? Sachant à quel point le Diable est piégeur, la probabilité que ce site ait
seulement changé de locataires, et non de propriétaire est extrêmement
grande. En tant qu’humains, nous ne pouvons pas le savoir, mais notre bon
sens et la manière dont Dieu agissait par le passé nous signalent qu’Il n’aurait
jamais accepté ce compromis. Le Diable utilise des moyens sournois pour
pousser certains hommes à l’adorer sans même qu’ils ne s’en rendent
compte. Apocalypse 13:4 déclare :

« Et ils ont adoré Le dragon parce qu’il a donné le pouvoir à la bête. Et
ils ont adoré la bête avec ces paroles : ‘ Qui est semblable à la bête et
qui peut lutter contre elle ? »

Dans les prophéties de l’Apocalypse, le dragon représente Satan, et la bête
symbolise les forces politiques et militaires. Lorsque, par ferveur nationaliste,
nous sacrifions notre vie dans des guerres fomentées par le chef de ce
monde, c’est-à-dire le Diable, lorsque nous nous plaçons sous l’autorité des
forces politiques et militaires qu’il manipule dans l’ombre, pour qui
mourons-nous ? Certainement pas pour Dieu.

Si nous sommes capables de donner notre vie pour soutenir un régime
politique à travers lequel le Diable exerce son pouvoir, puisque c’est son
règne, c’est sacrifier notre vie sur l’autel des forces de l’ombre.

Posons-nous cette question : comment un objet qui entrait dans le culte des
démons peut-il continuer à exister dans celui de Dieu ? Comment peut-on
conserver certains de leurs rites ? Tout en condamnant d’autres facettes de
leur culte, Mahomet continuait toute sa vie d’embrasser cette pierre noire
qui entrait dans le culte des mecquois, et qui représentait un organe féminin,
probablement celui d’une déesse. Mahomet servait tout simplement de
cheval de Troie à son insu.

Pourquoi l’ange Gabriel, si c’est vraiment lui qui parlait à Mahomet, ne lui
avait jamais signalé la gravité de son geste ? Il rendit même hommage à ces
déesses. Ouvrons enfin les yeux. Nous nous comportons comme des
moutons qu’on amène à l’abattoir, nous sommes incapables de comprendre
que le chemin qu’on nous demande d’emprunter, conduit tout droit à la
mort. Nous suivons le troupeau les yeux fermés.

Non seulement le site et la pierre qui était supposée le sanctifier ont été
conservés, mais on a aussi gardé des rites propres à ces idolâtres, tels que le
pèlerinage, la circumambulation, se raser la tête, ou être humblement
enveloppé dans un drap, à la manière d’un nouveau-né. Des siècles avant le
judaïsme ce genre de culte était courant au moyen Orient. Dieu donna cet
ordre dans le pentateuque :

« Vous ne vous ferez pas de faux dieux, vous ne dresserez pour vous ni
statue, ni pierre élevée, et vous ne placerez dans votre maison aucune
pierre ornée pour vous prosterner devant elle ; Je suis Yahweh, votre
Dieu. » Lévitique 26:1.

Pourquoi ce même Dieu aurait-Il choisi
comme lieu saint un endroit où se
trouve une pierre idolâtrée, comme
celles qu’Il interdisait ? Pourquoi
l’aurait-Il conservée ? Pourquoi aurait-Il

demandé à Mahomet, celui qui prétendait être son
envoyé de la vénérer, de l’embrasser et de lui tourner
autour ? (voyez sourate 2:125). Pour un Juif ou pour un
vrai chrétien, il est tout à fait impensable que Dieu ait pu
demander cela.

Tourner notre face en direction de ce lieu et de cette pierre pour nous
adresser à Dieu, quel que soit l’endroit où nous soyons, est très dangereux.


La triade de la Mecque


Des arabes préislamiques de la Mecque adoraient des déesses : Al-Allât, Al-
Uzza et Manat. Ce sont ces divinités auxquelles Mahomet aurait rendu
hommage, incité en cela, dit-il, par Satan. Effectivement, la sourate de
l’étoile nous apprend que les arabes les considéraient comme les filles
d’Allah. Dans certaines cultures, les astres, principalement la Lune et Vénus,
étaient associées au culte de déesses.

Même si les musulmans ne vénèrent ni la Lune ni Vénus,
ces symboles et la conservation de certains rites liés à ces
cultes, ne devraient en aucun cas se trouver sur un lieu
de culte censé être agréé par Dieu. Presque toutes ces
déesses avaient rapport, soit avec la fécondité, soit avec
la sexualité.

Est-ce par hasard que la pierre noire et l’écrin dans lequel elle est encastrée
évoquent une naissance ? Est-ce un hasard que le croissant lunaire ait été
choisi pour se retrouver en bonne place sur ce même lieu où se pratiquait le
culte lunaire lié à la fécondité ?

Certains affirment que la pierre noire était tombée du paradis alors qu’elle
était encore blanche. Mais on sait que les gens de cette époque avaient une
propension à la fabulation. Or, il est établi que ce fut un sanctuaire païen. La
pierre existait bien avant la naissance de Mahomet. D’autre part, le paradis
n’est pas un lieu matériel lié à notre monde. Ce sont encore des légendes.

Selon l’historien Ibn Ishag, né en 704 à Médine, les pèlerins préislamiques se
rasaient la tête, et y pratiquaient aussi la circumambulation en étant
simplement enveloppés dans un linge à l’image d’un nouveau-né. C’était
également un lieu de pèlerinage.

Si les musulmans ont ce rapport, qu’on pourrait qualifier de « vénératif »
avec cette pierre et ce lieu, c’est parce qu’ils reproduisent ce que leur
prophète faisait avant eux, probablement bien avant l’islam. On y perpétue
sans le savoir des rites liés à de faux dieux. Rien ne justifie sa présence, à part
des mythes.


Des mythes injustifiables


Selon la tradition musulmane, la Ka’ba aurait été construite par Abraham et
Ismaël. Mais cela est peu probable. Abraham construisait, certes des autels
pour offrir des sacrifices à Dieu tout le long de son voyage vers Canaan, mais
ce n’était pas des lieux permanents. On lit en Genèse 12:6 à 8 :

« Abram parcourut le pays jusqu’au lieu nommé Sichem, jusqu’aux
chênes de Moré…. L’Eternel apparut à Abram et dit : « Je donnerai ce
pays à ta postérité ».

« Et Abram bâtit un autel à Dieu, qui lui était apparu. Il se transporta
de là vers la montagne, à l’orient de Béthel et il dressa ses tentes,
ayant Béthel à l’occident et Aï à l’Orient. Il bâtit encore là un autel, et
il invoqua le nom de l’Eternel. Abram continua ses marches en s’avançant
vers le midi. »

Ces autels étaient de simples pierres superposées pour faire du feu et offrir
des sacrifices d’animaux. La pierre n’était pas vénérée. Considérer comme
saints les endroits où Abraham dressa des autels, c’est fleureter avec
l’idolâtrie. D’autre part, au cours de ses pérégrinations, avant l’entrée
d’Abram en Egypte, Ismaël n’était pas né. Et lorsqu’il le renvoya, lui et sa
mère Agar ; Abraham avait plus de cent ans et Ismaël n’était qu’un
adolescent. Il devint nomade et put revoir son père. Mais de là, à l’imaginer
construire avec lui la Kaaba…Le mythe est difficile à accepter.

Les arabes désignent par cube le mot Kaaba. Mais la racine semble être
grecque. Du moins l’ancien mot grec « Kabou » signifiait « jeune fille » et
désignait la déesse Astarté qui est Aphrodite dans la mythologie grecque, et
Vénus dans la mythologie romaine. Elles sont toutes des déesses de la
fertilité.

Si la Kaaba avait vraiment été construite par Abraham et Ismaël, pourquoi
Isaac n’y avait-il pas participé ? Pourquoi la Bible n’en fait-elle pas mention ?
Et pourquoi l’auraient-ils construit loin du territoire que Dieu a promis à sa
descendance ? En Genèse 21, Sara dit a Abraham :

« Chasse cette servante et son fils, car le fils de cette servante
n'héritera pas avec mon fils, avec Isaac. Cette parole déplut fort aux
yeux d'Abraham, à cause de son fils. Mais Dieu dit à Abraham : Que
cela ne déplaise pas à tes yeux, à cause de l'enfant et de ta servante.
Accorde à Sara tout ce qu'elle te demandera ; car c'est d'Isaac que
sortira une postérité qui te sera propre. Je ferai aussi une nation du
fils de ta servante ; car il est ta postérité.

Abraham se leva de bon matin ; il prit du pain et une outre d'eau, qu'il
donna à Agar et la plaça sur son épaule ; il lui remit aussi l'enfant, et la
renvoya. Elle s'en alla, et s'égara dans le désert de Beersheba […] Dieu
fut avec l'enfant qui grandit […] et devint tireur d’arc. Il habita dans le
désert de Paran et sa mère lui prit une femme du pays d'Egypte ».

Tout cela se déroula sans Abraham et loin de la Mecque. Nous n’avons
aucune preuve qu’Ismaël et sa descendance proche aient conservé le culte de
leur père, culte qui consistait à offrir des sacrifices. En réalité, ce mythe vise à
faire accepter aux musulmans la fausse sainteté de ce lieu. Compte tenu de
son âge, on imagine mal Abraham partir à l’aventure sans Isaac, sans ses
serviteurs, pour aller construire la Kaaba avec Ismaël.

L’inverse serait plus plausible. Il semblerait qu’Ismaël rendait parfois visite à
son père très âgé. Voyant sa force déclinée, il a dû rester auprès de lui
jusqu’à sa mort, peut-être avec ses fils. Genèse 25 raconte :

« Il vécut 175 ans. Abraham expira et mourut, après une heureuse
vieillesse, âgé et rassasié des jours, et il fut recueilli auprès de son
peuple. Isaac et Ismaël, ses fils, l’enterrèrent dans la caverne de
Macpela, dans le champ d’Ephron, fils de Tsochar, le Héthien… » Genèse
25:7 à 9.

L’histoire d’Abraham qui aurait construit la Kaaba avec Ismaël, loin de la
terre promise par Dieu, semble être une pure invention, comme un grand
nombre d’autres récits. Le Coran s’est fait le complice de ce mensonge en
déclarant :

« [Et rappelle-toi] quand nous fîmes de la Maison un lieu de visite et un
asile pour les gens - Adoptez donc pour lieu de prière, ce lieu où
Abraham se tint debout - Et Nous confiâmes à Abraham et à Ismaël
ceci: « Purifiez ma Maison pour ceux qui tournent autour, y font
retraite pieuse, s’y inclinent et s’y prosternent » (sourate 2:125).

Les musulmans méritent-ils ces tromperies
diaboliques ? Il faut avoir beaucoup d’audace, ou
sous-estimer les musulmans pour attribuer à Dieu
ces propos. C’est un piège ! Si Abraham et Ismaël
avaient purifié la Kaaba et qu’ils tournaient déjà
autour, on est en droit de se demander ce que
faisait le culte des déesses dans ce lieu et les 360
autres statues de divinités que Mahomet fit détruire ? Pouvait-on les attribuer
à Abraham et à Ismaël ? Que dire encore de l’immense obélisque de la
Mecque transféré au mont Arafat ? Les obélisques de Pétra et de l’Egypte
sont-ils aussi d’Abraham ?

Des représentations phalliques ont, certes, aussi été détruites, mais celle de
l’accouchement d’un enfant y est toujours. Les musulmans continuent de la
toucher et de la vénérer. Où est Allah ? Que dit-il de tout cela ? Où était
l’ange Gabriel ? Que faisait Mahomet ? Si Abraham avait l’habitude de
tourner autour de pierres sacrées ou autour d’une maison, les juifs en
auraient fait mention et auraient peut-être conservé cette coutume. Abraham
était contre les idoles. Il n’aurait pas pu les fabriquer lui-même.

Ce mensonge, appuyé par le Coran, est à l’image de tout le livre, c’est-à-dire
construit pour tromper un grand nombre d’humains. En réalité, une idolâtrie
flagrante a été remplacée par une idolâtrie subtile et
bien dissimulée. Si ce lieu avait été vraiment purifié, que
faisaient en son sein des cultes démoniaques ?

Dieu se serait-Il laissé dépouiller du lieu qu’Il aurait
sanctifié du temps d’Abraham ? Soyons sérieux ! Tout
cela n’est que fabulation. On nous ment. Et derrière ce
mensonge se cache qui ? Selon Al-Boukhari, Omar
aurait déclaré, en embrassant la pierre :

« Je sais parfaitement que tu n’es qu’une pierre, qui ne peut être ni
bénéfique, ni même néfaste. Si je n’avais pas vu le prophète
t’embrasser, je ne t’aurais jamais embrassée. »

Etait-ce l’exemple d’un bon conducteur, d’un prophète ? Les musulmans ont
le droit de se demander dans quoi on les a embarqués depuis 1400 ans et
pourquoi on leur cachait ces choses. Dieu est trop saint pour conserver le
bâtiment, les rites et des objets qui entraient dans le culte de démons. En tant
qu’humains, nous ne pouvons pas être certains que les démons, ou le Diable
lui-même, ont bien quitté les lieux. Pour éviter d’être trompés, nous n’avons
que la manière dont Dieu procédait par le passé. Les récits bibliques
montrent qu’Il n’aurait jamais agi ainsi.

La déesse Diane et d’autres déesses préislamiques, comme Aphrodite et
Artémis étaient associées aux astres, principalement à la Lune. On lit dans
Wikipédia :
« Artémis (en grec ancien ??teµ?? /Artemis) est, dans la mythologie
grecque, la déesse de la nature sauvage, de la chasse, des
accouchements et l’une des déesses associées à la lune […] »

Elle est appelée Diane dans la mythologie romaine. La
vénération d’une pierre tombée du ciel était associée au
culte d’Artémis (Diane pour les Romains) de la ville
d’Ephèse. Nous ne savons pas si l’une des statues de Diane
avait été faite à partir de cette pierre tombée du ciel, ou si
elle avait été vénérée à travers une pierre tombée du ciel,
comme le faisaient les Mecquois. En tout cas 600 ans
auparavant l’apôtre Paul a eu affaire aux adorateurs de
cette déesse ; car on lit en Actes 19:35 :

« Mais quand ils reconnurent qu’il était juif, tous d’une
seule voix crièrent pendant près de deux heures :
Grande est la Diane des Ephésiens ! Cependant le secrétaire, ayant
apaisé la foule, dit : Hommes, Ephésiens quel est celui qui ignore que la
ville Ephèse est la gardienne du temple de la grande Diane et de son
simulacre tombé du ciel ? » Actes 19:35.

D’autres versions emploient le terme : de son image tombé du
ciel. Voilà pourquoi on pense qu’une statue à son effigie avait
peut-être été faite à partir de ce qui était tombé du ciel. Les
musulmans eux, étaient assez naïfs pour croire que la pierre
des Mecquois venait vraiment du Paradis, un lieu immatériel.
Mais comment peut-on être aussi naïfs ? N’est-il pas curieux que le croissant
de Lune, parfois associé à une étoile, soit le symbole de l’islam ?

La croix est le symbole de la majorité des chrétiens, parce qu’ils pensent qu’il
s’agissait de l’instrument sur lequel le Christ fut exécuté, mais le symbole de
l’islam n’a aucune justification, sinon la continuité d’un culte de démons au
travers des déesses.

Le fait que le symbole du dieu des Mecquois ait été conservé, que la
circumambulation et le fait de se raser la tête en étant humblement
enveloppé dans un linge comme un nouveau-né, le fait de faire de la
Mecque un lieu de pèlerinage, comme les anciens Mecquois, cela en
l’honneur du maître des lieux et de ses déesses, le fait de conserver leur
pierre noire qui représente la tête d’un nouveau-né sortant de la matrice
d’une femme, le fait que Mahomet, jusqu’à sa mort, continuait de la vénérer
et de l’embrasser, prouve que les propriétaires n’ont jamais quitté les lieux.
Jamais !! C’est devant eux que certains se prosternent sans le savoir.

En détruisant les idoles les plus grotesques et en disant qu’on adore un seul
Dieu : Allah, le Diable a fait passer ce prétendu acte de nettoyage spirituel
pour une vraie réhabilitation. Mais c’est un piège parfaitement dissimulé
pour ceux qui ignorent comment Dieu procédait par le passé. C’est pour cela
que le prétexte de falsification a été mis en avant pour interdire la lecture de
la Bible. Tous les ex-musulmans se sont rendus compte, à leur grand
étonnement, que cette accusation était fausse.

Mahomet n’était pas un vrai prophète de Dieu, ni un bel exemple, et le
Coran n’a rien de divin. C’est une conclusion évidente pour ceux qui
cherchent le Vrai Dieu, pour ceux qui font passer la vérité avant l’amour de
la religion.

Tourner notre face et nous prosterner en direction de ce bâtiment lorsque
nous nous adressons à notre Dieu, qui est d’une sainteté absolue, c’est
prendre un risque inutile, inacceptable. Nous n’avons aucune certitude que
Houbal, le père des trois déesses, qui pourrait être le Diable, ni que tous les
anciens occupants invisibles aient vraiment quitté les lieux. Il ne suffit pas de
chasser les locataires humains pour déloger les propriétaires. On lit dans
Wikipédia :

« Houbal est une divinité préislamique de la Ka’ba (...) Il était le père de
la triade de déesses Allât, Al ’Uzzâ et Manât (…) Certains auteurs
arabes modernes estiment que son nom vient de baal, appellation des
dieux cananéens et phéniciens, précédé de hou, article défini dans un
dialecte cananéen. »

Le fait que Mahomet n’ait jamais cessé de vénérer cette pierre prouve que
rien n’a été fait dans le domaine invisible. Comment nos prières pourraient
parvenir à Dieu quand elles doivent passer par des intermédiaires peu
recommandables ? La liaison est coupée, parasitée par des forces occultes.
Avons-nous besoin de passer par une pierre, un bâtiment, ou une ville pour
communiquer avec Dieu ?


La ruse de la pièce de monnaie


Le Diable pratique, on le sait, la politique de la pièce de Monnaie, celle qui
consiste à n’en dénoncer qu’une face, car de l’autre côté se trouve une
horreur habilement dissimulée. Il peut remplacer une forme d’idolâtrie par
une autre forme beaucoup plus difficile à déceler.

En nous adressant à Dieu, si nous ne dirigions pas notre face en direction
d’un lieu où se pratiquait le culte des démons, quel péché commettrions-
nous ? Dieu ne nous écoute-t-Il pas quel que soit l’endroit où nous nous
trouvons ? Jésus, les apôtres et les vrais prophètes, se tournaient-ils en
direction de la Mecque pour s’adresser à Dieu ? Interrogeons-nous sur ce qui
justifie la prétendue sanctification de ce lieu. N’est-ce pas la pierre elle-
même ?

En sourate 2:199 le prophète demande de faire le hajj en partant de l’endroit
d’où on le fait d’habitude. Le terme « d’habitude » pouvait avoir rapport
avec le culte qui se pratiquait déjà dans ce lieu. Celui qui fit ces
recommandations semblait être coutumier de ces rites, voire nostalgique.
Cette personne m’a tout l’air d’être Mahomet lui-même, et non le Dieu des
hébreux, qui a toujours mis en garde les israélites contre la reproduction des
coutumes des nations :

« Tu ne devras rien faire qui ressemble à leurs œuvres » Exode 23:24,
ou encore : « Garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant »
Deutéronome 12:30.

Est-il possible que ce même Dieu fasse exactement ce qu’Il avait interdit aux
israélites par le passé ? Est-ce vraiment Lui qui a demandé aux musulmans de
poursuivre les coutumes religieuses des Mecquois dans leur propre sanctuaire
?

Dieu n’approuvait pas ces cultes démoniaques. Pourquoi leur aurait-Il
demandé de poursuivre leurs pratiques ? Une telle chose est tout simplement
impossible. Si cela ne nous pose aucun problème, nous gagnerions à mieux
connaître Le Dieu de la Bible, cette Bible qu’on nous interdit de lire.

En effet, le dieu que Mahomet nous
présente est parfois méconnaissable.
Il se distingue du vrai Dieu par son
manque d’amour, par sa haine de
ceux qui n’appartiennent pas à son
camp, par son irrespect de la vie
d’autrui, par son goût pour la
violence et la souffrance des
hommes, par les effusions de sang et
son injustice.

Il faut savoir que même les arbres des citées cananéennes fraîchement
conquises étaient voués à l’interdit et considérés comme impurs. Les israélites
ne pouvaient consommer leurs fruits qu’après trois ans (voir lévitique 19:23
à 25, livre que Mahomet reconnaissait pourtant comme parole de Dieu).
Alors, comment le vrai Dieu pouvait-Il prendre possession du sanctuaire des
mecquois pour en faire en quelques jours son lieu saint ?

Quelqu’un, tout en critiquant l’idolâtrie des mecquois, semblait non
seulement l’avoir remplacée par une forme plus subtile, mais mit tout en
œuvre pour les faire passer pour des gens dont le culte était approuvé par
Dieu. Cela ressort clairement dans la sourate de l’éléphant, où Dieu serait
intervenu en leur faveur contre une armée chrétienne, afin d’empêcher que
leur sanctuaire idolâtrique et démoniaque, la Kaaba, soit détruit. Pourquoi
Dieu ne le fit-Il pas pour Jérusalem et son Temple en l’an 70, pour éviter sa
destruction par les Romains ?

Celui qui croit à cette fausse intervention divine, se dira : si Dieu est
intervenu pour protéger ce lieu, alors il doit être cher à ses yeux, il doit être
saint. Voyez-vous le piège ? Un simple humain peut-il être aussi malicieux ?
Dieu peut-Il se jeter comme un affamé sur ce qui tombe de la table des
démons ? Peut-Il utiliser les mêmes pierres, les mêmes rites, les mêmes objets
de vénération, pour en faire son sanctuaire ? Les anges doivent frissonner en
entendant cela.

Par ailleurs, la prophétie de Daniel relative à la destruction du Temple en
l’an 70 de notre ère par les romains, montre qu’après la destruction de
Jérusalem Dieu n’aurait plus de lieu saint sur la terre, jusqu’à son
rétablissement dans les cieux « dans sa vraie condition ». Daniel raconte :

« Soixante-dix semaines ont été déterminées sur ton peuple et sur ta
ville sainte, afin de mettre un terme à la transgression, et de supprimer
le péché, et de faire propitiation pour la faute, et d’amener la justice
pour des temps indéfinis et de sceller vision et prophète, et d’oindre le
Saint des saints…

« Et après les soixante-deux semaines Messie sera retranché et il ne
sera plus. Et la ville et le lieu saint le peuple d’un dirigeant qui vient les
ravagera. Et la fin de cela sera par l’inondation. Et jusqu’à la fin il y aura
la guerre ; ce qui est décidé, ce sont des désolations… » (Voir Daniel
9:24 à 26).

(Les jours dans cette prophétie étaient en réalité des années). La venue du
Messie devait précéder la destruction de Jérusalem par les Romains en l’an
70).

Au chapitre 8, parlant de la destruction du temple par les Romains, dans la
prophétie des quatre bêtes, un ange s’enquerra auprès d’un autre ange pour
connaître la date du rétablissement du lieu saint, car il n’y aurait plus de lieu
saint jusqu’au temps fixé. Daniel raconte :

« Et j’entendis un certain saint qui parlait, et un autre saint se mit à
dire au personnage qui parlait : ‘jusqu’à quand cette vision du sacrifice
constant et de la transgression qui cause la désolation pour faire du lieu
saint et de l’armée des choses à piétiner ?’ »

« Alors il me dit : ‘jusqu’à deux mille trois cent soirs et matins ; et, à
coup-sûr, le lieu saint sera rétabli dans sa vraie condition. »

Les deux mille trois cent soirs et matins sont pour les juifs, comme pour des
chrétiens, deux mille trois cent ans, à compter de la destruction de Jérusalem
et de son temple en l’an 70 par les romains. On en arrive alors à l’année
2370 de notre ère pour le rétablissement du lieu saint. Alors comment la
Mecque, une ville que la Kaaba et une pierre idolâtrique ont supposé
sanctifiée, ait pu devenir moins de 600 ans après, le lieu saint de Dieu sur la
terre ?

Selon Sahih Boukhari 3847. Raconté par Ibn Abbas : « Parcourir la vallée
entre les deux piliers verts d’As-Safa et d’Al-Marwah (les monts à la
Mecque) ne faisait pas partie de la Sunna. Cependant les gens de la
période préislamique avaient l’habitude de la parcourir, en disant : « On
ne traverse pas ce ruisseau de pluie sauf en courant avec grande hâte. »

Selon Sahih Boukhari 4496 Raconté par Asim bin Sulaiman : « J’ai
interrogé Anas bin Malik à propos d’As-Safa et d’Al-Marwah ; il
répondit : « On considérait que faire le parcours autour d’elles était une
coutume de la période préislamique. Quand l’islam est arrivé, on
abandonna cette coutume. » Alors Allah révéla :
« As-Safa et Al Marwah sont vraiment parmi les lieux sacrés d’Allah.
Donc quiconque fait le Hajj à la maison ou fait l’Umra, ne commet pas de
péché en faisant le va-et-vient entre ces deux monts […] » Sourate
2:158

Cet Allah-là est-il le Dieu des Juifs, ou celui des anciens Mecquois ? Comment
peut-il ordonner ces coutumes païennes ? Apparemment, les musulmans
d’autrefois étaient plus sensibles à cette forme d’idolâtrie que Mahomet et
Allah lui-même. Aujourd’hui les musulmans doivent faire le trajet sept fois
entre les deux points, après le tawâf, la circumambulation.

Les premiers musulmans, à part Mahomet et Houbal, qu’il redéfinit comme
Allah, avaient compris que cette coutume était païenne. C’est du paganisme
adapté à une vraie histoire biblique (l’errance d’Agar dans le désert). C’est à
l’image de Noël fêtée par des chrétiens. Avec l’islam, nous sommes dans un
paganisme parfaitement déguisé et adapté à notre époque. Si nous ne nous
donnons pas le droit de réfléchir et de douter, nous sommes perdus.


Dieu peut-IL avoir part avec les démons ? NON !


Comment peut-on s’adresser à son Dieu infiniment Saint en se prosternant
devant le siège, ou l’ancien quartier général de son grand ennemi : quatre
murs de pierres ? Ne pouvait-il pas les construire ailleurs ? Qui nous dit que
l’ancien maître et ses démons ne sont plus là ? Certains de ces mobiliers y
sont encore, son bâtiment, ainsi que des rites qu’il a institués.

Sourate 3:96 déclare : « La première maison qui ait été édifiée pour les
gens, c’est bien la Bakka (Mecque), bénie et une bonne direction pour
l’Univers. »

Sérieusement, pouvez-vous imaginer Yahweh en train de prononcer ces
paroles ? Les fouilles archéologiques, jusqu’à présent, n’ont jamais confirmé
cette allégation. Quelle est la ville la plus sainte pour ceux qui ont écrit ses
paroles ? C’est la Mecque. Quel est le bâtiment le plus saint de la Mecque ?
C’est la Kaaba. Et quel est la chose la plus sainte de la Kaaba ? C’est la pierre
noire, un objet qui entrait dans le culte démoniaque bien avant la naissance
du père de Mahomet. Le Coran se fait complice depuis 1400 ans de ces
tromperies. Il ne peut pas être la parole de Dieu.

La loi interdisait aux israélites de se faire des tatouages, des entailles dans leur
chair, des calvities artificielles sur le front, de couper les côtés de leur
chevelure et de détruire l’extrémité de leur barbe, car ces pratiques étaient
associées aux rites idolâtriques des peuples voisins (lisez Lévitique : 19:26 –
28 et Deutéronome 14:1).

Les objets des peuples chassés de Canaan étaient voués à l’interdit lorsqu’ils
avaient un quelconque rapport avec les faux dieux ; ils étaient détruits. On
ne pouvait pas les garder. Qu’il s’agisse de vêtements, d’argent, de
nourriture ou d’objets en or, tout devait être brûlé. Dieu s’était détourné
d’Israël pendant un certain temps, principalement pendant une bataille au
cours de laquelle les juifs avaient subi de lourdes pertes. Pourquoi ?

Parce que quelques-uns d’entre eux avaient gardé des objets voués à la
destruction. Dieu, Lui-même le fit savoir à Josué. Ces tricheurs furent pris et
lapidés. Parmi eux, Akan, de la famille même de Josué. Celui-ci avait gardé
un beau vêtement, de l’argent et un lingot d’or (voir Josué 7). Cela aurait
été un sacrilège d’introduire un seul de ces objets dans le Temple de Dieu.
Ne parlons pas de la pierre noire des Mecquois.

Les rédacteurs du Coran ont évité de reprendre ces histoires du Pentateuque,
livres auxquels ils croient, parce que cela vous aurait aidés à mieux connaître
Dieu et à savoir ce qui Lui plaît et Lui déplaît et surtout, à détecter leurs
mensonges et leur idolâtrie dissimulée. C’est pour cela qu’ils vous interdisent
de lire la Bible et non à cause de falsifications. Pourtant, nous en avons bien
plus à apprendre sur Dieu à travers ce récit que dans celui de Joseph, par
exemple.

Parmi les pratiques qui furent interdites aux juifs figuraient des séances de
mortification, où les adorateurs des cultes démoniaques se lacéraient jusqu’au
sang au nom de leurs dieux. Ce genre de pratiques n’a pas totalement
disparu aujourd’hui. Accomplir un tel rituel en souvenir d’un homme ou
d’un dieu est une forme d’idolâtrie. Tout objet, eût-il été utilisé par le Christ,
reste un objet, certes, avec une valeur historique, mais sans plus.

Supposons que tous les humains aient la même religion et que pour prier
Dieu, ils se tournent en direction de la Kaaba, que resterait-il au Créateur s’Il
désapprouvait cet acte ? C’est un « tout ou rien » dangereux pour l’humanité.
Peut-on forcer la terre entière à adopter cette religion et cette pratique ?
Aucune personne ne devrait être tuée pour avoir refusé d’adopter cette
religion, ni pour l’avoir abandonnée.

On a fait croire aux musulmans qu’il suffisait de convertir les polythéistes de
la Mecque pour chasser les démons de la Kaaba et sanctifier les lieux. Mais
les démons sont plus puissants que nos épées. Il ne suffisait pas de briser
quelques statues pour les éloigner définitivement. Mahomet n’avait même
pas procédé à un simulacre de cérémonie de purification. Et si tout cela
n’était qu’un tour d’illusion ? La Bible déclare : « Quel rapport y a-t-il
entre la lumière et les ténèbres ? »

Pour nous rendre compte du piège satanique, essayons d’imaginer Moïse, ou
Josué qui, après avoir soumis les cananéens, prît leur lieux de culte, cassât la
majorité de leurs idoles les plus grotesques, puis, se tournant vers le peuple
d’Israël, lui présentât leur sanctuaire et leur ville comme le nouveau lieu saint
où réside Yahweh. Existerait-il une offense plus grande que celle-là à
l’encontre du Créateur de l’Univers ? Je ne vois rien de plus grave depuis la
rébellion en Eden. N’est-ce pas ce qu’on a fait aux musulmans ?

Si Moïse avait conservé quelques-uns de leurs rites et leur idole la plus sacrée
à leurs yeux, pensez-vous que Dieu aurait approuvé cela ? Si, de surcroît, il
leur demandait, à chaque fois qu’ils s’adressaient à Yahweh par la prière, de
se prosterner en direction de leur lieu sacré et de leur ville, ce serait le
blasphème le plus abouti. Les anges du ciel auraient de quoi être scandalisés
et choqués. Mahomet se faisait passer pour le nouveau Moïse parce qu’il
était un chef de guerre, mais il n’avait rien de Moïse ; c’était un idolâtre
déguisé. Ne minimisons pas ces pratiques parce qu’elles nous concernent.
C’est extrêmement grave.

Nous n’avons pas besoin d’examiner les choses plus en profondeur pour voir
que c’est exactement ce qu’on a fait aux musulmans. Tout a été si bien
amené que cette horreur est passée comme une lettre à la poste. Nous ne
voyons alors aucun inconvénient à toucher l’une de leurs idoles et à
l’embrasser pieusement, comme le faisait Mahomet, ce bel exemple qui a fait
écrire, pour mieux tromper, que Dieu ne pardonne pas l’association.

Après cela nous osons déclarer fièrement que nous n’adorons qu’Allah et
pointer du doigt les autres idolâtres qui prient Jésus. Dieu nous a avertis en
Apocalypse que le Diable égare la terre habitée toute entière. Cela devrait
nous pousser à être plus vigilants. D’autant plus que celui qui a conduit les
musulmans sur cette voie-là fut un rejeton du lieu. Voilà pourquoi on peut
vraiment parler de cheval de Troie.

Certains continuent à croire et à enseigner que cette pierre fut descendue du
paradis, alors qu’elle était blanche comme du lait. Ces fabulateurs profitent
des oreilles naïves des musulmans et leur peur de l’Enfer pour leur faire
croire n’importe quoi. En Apocalypse 9:20 il y a cette prophétie : « … Mais
le reste des hommes qui avaient survécu à ces fléaux, ne renoncèrent
pas à leur façon d’agir ; ils ne cessèrent pas d’adorer les démons… »



Très peu de gens adorent consciemment des démons. Cela signifie que la
grande majorité le fera sans même s’en rendre compte. Cette prophétie
montre que les musulmans, du moins, la majorité d’entre eux, persisteront
dans leur égarement et dans cette voie outrageante à l’égard du Créateur. Ils
ont été trompés comme aucune autre génération ne l’a été avant eux, et
comme aucune autre génération ne le sera après eux. Est-ce vraiment Dieu
qui est à l’origine de sourate 2:144 disant :

« Certes, nous te voyons tourner le visage en tous sens dans le ciel.
Nous te faisons donc orienter vers une direction qui te plaît. Tourne
donc ton visage vers la Mosquée sacrée. Où que vous soyez, tournez-y
vos visages […] ? »

Ce sont des propos qui ne pouvaient en aucun cas venir du Créateur. Si vous
êtes un musulman et que vous cherchez le Vrai Dieu, entrez dans votre
chambre et priez-Le en tournant le dos à cet endroit malsain et maudit.
Demandez à Dieu de vous montrer le chemin qui Lui plaît. La blancheur des
habits ne sanctifie personne. C’est un piège.

Comment un prophète, un père de famille, un excellent model, selon
sourate 33:21, ait pu accepter de détruire tant de familles, de priver les
enfants de cinq et de six ans de leur père, de leur mère, de leurs compagnons
de jeu, en les vendant comme du bétail pour en faire des serviteurs et des
esclaves ? Qu’avaient fait de mal ces enfants pour subir cette situation ?
Etaient-ils déjà en âge de choisir leur religion ? Non. Pourtant cela ne les
empêcha pas de subir la loi des méchants et des pilleurs qui agissaient sous le
couvert de Dieu.

Cet homme était dénué de toute humanité. Suivez-le si vous voulez marcher
dans les pas du Diable et avoir le même sort que lui. Prenons garde à la
fausse sainteté des hommes.

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Nous devons aussi réfléchir à la manière dont nous considérons une simple
croix. Certains lui prêtent même un pouvoir protecteur. Et si tout cela était
en désaccord avec la volonté de Dieu ? Ce n’est que du fétichisme.
Imaginons que l’instrument sur lequel le Christ fut exécuté ait eu l’apparence
d’une croix, serait-ce une raison de la vénérer ?

Oui, l’idolâtrie peut être très subtile. Dans de nombreuses églises, on peut
voir non seulement la représentation de Jésus, mais aussi celle de Marie, des

72

apôtres et d’autres humains que nous considérons comme saints. Mais pour
de nombreuses personnes il ne s’agit pas d’une adoration :

« C’est juste un moyen de visualiser la personne à qui nous nous
adressons ; de la sentir plus proche de nous ; mais nous savons qu’elle
est au ciel... Ce ne sont que des pierres et du bois. »

C’est l’une des réponses qu’on nous donne. Effectivement, ce ne sont que
des pierres et du bois. Mais dans le fond, quelle différence y a-t-il avec
l’idolâtrie dite païenne ? Un aborigène qui sculpte un morceau de bois ou
qui taille une pierre pour se représenter un dieu n’est pas naïf au point de
croire que la statue forgée soit réellement ce dieu, mais il s’imagine que celui-
ci accordera son esprit, une âme, un certain pouvoir à sa représentation.

N’est-ce pas en quelque sorte ce que nous espérons de nos statues et de nos
croix ? N’est-ce pas l’attente des musulmans en touchant la pierre noire et en
l’embrassant ? Qu’attendait Mahomet en accomplissant ce geste ? N’est-ce
pas la même chose ? C’est d’ailleurs ce qui explique pourquoi certains
s’attendent à être guéris par leur simple attouchement. Beaucoup d’idolâtres
ignorent ce qu’ils sont.

Nous croyons à tort, parce que nous nous disons monothéistes, que nous
sommes autorisés à faire comme les païens sans être désapprouvés par Dieu.
Certes, nous n’allons pas sacrifier un humain au dieu de la pluie pour avoir
de bonnes récoltes ou pour l’apaiser ; mais ne sommes-nous pas disposés à
sacrifier notre vie et celles de personnes innocentes, et même nos propres
enfants, nos sœurs, nos frères, nos parents, pour satisfaire un être malfaisant,
brutal, assoiffé de sang, dissimulé derrière « Dieu » ?

Le Diable et les démons ne nous avaient-ils pas envoyés également sacrifier
sur le bûcher de l’inquisition nos propres frères humains pour des motifs
ridicules ? Qui a élevé la voix lorsque ces créatures de Dieu hurlaient de
douleur ? Dieu peut-Il fermer les yeux sur ces atrocités pratiquées en son
nom ?

Toutes ces souffrances, tous ces attentats meurtriers d’inspiration
démoniaque perpétrés partout sur la terre ; ceux qui les commettent ainsi
que leurs instigateurs, depuis les premiers temps, jusqu’aux jours du
jugement, devront en payer le prix. Oui, ils devront en payer le prix, depuis
Caïn, en passant par Mahomet, jusqu’au dernier non repenti d’entre nous sur
la main duquel Dieu aura trouvé du sang. Oui, je vous le dis, en vérité, ils
devront rendre des comptes au jour du jugement.


Paul dit que « les choses que sacrifient les nations, elles les sacrifient à des
démons, et non à Dieu. » Donc, les prières que nous adressons à des statues
et à des personnes décédées, de même que le sacrifice de notre vie et celles
de personnes innocentes dans des actes injustes de terrorisme, souvent pour
des causes politiques, vont à des démons, et à eux seuls.

Qui s’exprime en sourate 72 ?

En entendant parler des êtres affiliés à des ‘sectes’, nous pourrions croire qu’il
s’agit d’humains ; et l’emploi du pluriel nous, fait effectivement penser à un
pluriel de majesté employé d’habitude pour Allah. Mais en réalité, ce sont
des djinns, des démons qui s’expriment. On aura beau ajouter au verset 12 le
mot dis, pour cacher leur voix, il ne fait aucun doute que ce sont eux qui
parlent avec Mahomet et non l’ange Gabriel. Ils disent :

11- « Il y a parmi nous des vertueux et d’autres qui le sont moins : nous
étions divisés en différentes sectes. »

12- Nous pensions bien que nous ne saurions jamais réduire Allah à
l’impuissance sur la terre et que nous ne saurions jamais le réduire à
l’impuissance en nous enfuyant.

Dis : Il m’a été révélé qu’un groupe de djinns prêtèrent l’oreille, puis dirent :

« Nous avons, certes entendu une lecture (Le Coran) qui guide vers la
droiture. Nous y avons cru, et nous n’associerons jamais personne à
notre Seigneur.

13- Et lorsque nous avons entendu le guide (le Coran), nous y avons cru,
et quiconque croit en son Seigneur ne craint alors ni diminution de
récompense, ni oppression.

14- il y a parmi nous les musulmans, et il y en a les injustes [qui ont
dévié]. Et ceux qui se sont convertis à l’islam sont ceux qui ont cherché
la droiture. »


Ces versets sont des inventions humaines. Servir Dieu et l’aimer est un
privilège que Dieu n’accorde qu’aux créatures faites à son image et
approuvées par Lui. L’islam est la seule religion dont des démons peuvent
devenir membres. C’est une preuve de plus que cette religion est la
continuité du culte qui se pratiquait autrefois à la Mecque.


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