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Sondez Les Écritures
2 mai 2019

Certaines parties du cerveau témoignent de l'existence du Créateur

Certaines parties du cerveau témoignent de l'existence du Créateur


Un simple flagelle bactérien montre à quel point il est impossible que la vie,
aussi simple soit elle, soit le résultat de combinaisons hasardeuses d’éléments
chimiques inertes. Nous n’avons pourtant pas abordé l’étude de l’objet le
plus complexe que nous connaissons : le cerveau.

Entre le cerveau humain et celui de n’importe quel singe, il existe un abîme.
Si les singes d’aujourd’hui étaient inévitablement amenés à évoluer pour
devenir des êtres aussi intelligents que l’homme, que serions-nous dans un
avenir lointain ? Dans combien d’années croyons-nous que les singes
pourront construire des fusées et envoyer l’un des leurs sur la Lune et d’en
redescendre ? Peut-être, diriez-vous, la même durée qu’il a fallu à des singes
pour devenir des humains ? Malgré mon optimisme, je ne puis me résoudre
à croire que cela puisse un jour être possible.

Qui peut croire sincèrement que le cerveau soit l’aboutissement de
connexions hasardeuses entre neurones ? Le potentiel cognitif du cerveau
humain est infiniment plus grand que ce dont il a besoin pour stocker des
informations durant sa courte vie. Pourquoi l’évolution aurait-elle doté
l’homme d’un organe avec un potentiel qui va au-delà de ce dont il a
besoin ?

Si on devait débrancher les connexions neuronales du cerveau humain à
raison d’une synapse par seconde, cela prendrait 32 millions d’années.
Même si une génération ne durait en moyenne que 10 minutes, ou 600
secondes, et que le hasard exécutait un branchement synaptique par
génération, avec 100 % de chance de réussir du premier coup la bonne
connexion, la construction du cerveau humain prendrait plus de 19 milliards
d’années. Or, l’âge de l’Univers est estimé par les scientifiques entre 13 et 15
milliards d’années.

Le hasard n’aurait pas disposé d’assez de temps pour produire le cerveau
humain. Qui plus est, il lui aurait fallu inscrire toutes ces informations dans
les gènes. Chaque aire du cerveau a une fonction bien définie, fonction
identique chez tous les êtres humains. Si l’une d’entre elles est endommagée,
vous pouvez perdre la vue, la mémoire, le goût, la motricité, etc.

Le plus extraordinaire, c’est que chaque partie du corps est cartographiée
dans le cerveau, ou y possède une correspondance sensitive, depuis les orteils
jusqu’au sommet de la tête, en passant par nos autres membres. C’est ce qui
explique les douleurs fantomatiques d’un membre amputé.

Si une jambe n’a pas été cartographiée dans le cerveau, la personne la
considérera comme un corps étranger. Il arrive que ces personnes
demandent à être amputées d’un membre pourtant sain. Des animaux,
peuvent aussi en souffrir.

Les évolutionnistes affirment que nous sommes le résultat de combinaisons
hasardeuses de la matière inerte, en partant de simples bactéries à une phase
simiesque, avant de devenir ce que nous sommes aujourd’hui. La Bible, en
revanche, enseigne que l’homme a régressé par rapport à ses aptitudes
physiques et spirituelles initiales, cela en châtiment à la rébellion du premier
couple d’humains, d’où la maladie et la mort. Là encore, les faits donnent
raison à la Bible.

Lors de l’épissage de l’ARN pré-message, seul un faible pourcentage des
informations génétiques est conservé. Personne ne peut dire à quoi servent,
ou à quoi servaient ces informations, ni pourquoi elles sont devenues
inopérantes, ou obsolètes.

Des génies dans des domaines divers, tels que l’art, la musique, les
mathématiques, les calculs mentaux, la mémorisation de données, sont un
témoignage des capacités initiales de notre cerveau. L’allemand Rudiger
Gamm, par exemple, est capable d’effectuer entre 20 et 30 opérations à la
seconde.

Pour le britannique Daniel Tammet, les chiffres ne sont pas que des nombres,
ils ont une couleur, une texture, une forme. En les associant, il obtient une
autre forme qui correspond toujours au résultat exact de l’opération. Quelles
que soient les causes de ses sensations, cela prouve que le cerveau humain a
été conçu pour effectuer des calculs complexes. Ce n’est pas en apprenant à
estimer le nombre de prédateurs et de proies que le cerveau des animaux
aurait évolué pour se doter de telles capacités.

L’autiste américain Kim Peek mémorisa les 12 000 livres qu’il avait lus. Il
pouvait lire une bibliothèque entière et retenir presque tout sans le moindre
effort. Sans avoir appris le solfège, ni à jouer d’un instrument de musique, il
jouait au piano toutes les chansons et toutes les mélodies qu’il entendait, y
compris de la musique classique.

Pour le mettre à l’épreuve, on lui demanda de lire huit pages d’un livre, ce
qu’il fit en moins d’une minute. Deux heures plus tard, il était en mesure de
réciter 98 % de ce qu’il avait lu, y compris de donner le numéro de la page.
Il ne fait aucun effort de mémorisation. A quatre ans il mémorisait 8 volumes
d’une encyclopédie, les réseaux routiers et téléphoniques des Etats-Unis. En
arrivant dans un lieu public, à partir de l’inscription du nom et du prénom
de la femme sur son badge, il était en mesure de lui dire quel était son
numéro de téléphone.

Certains ont acquis de telles capacités suite à un accident cérébral, entraînant
de nouvelles connexions neuronales entre les différentes aires de leur
cerveau. D’autres, comme Rudiger Gamm, ont un cerveau génétiquement
construit ainsi. Mais va-t-il forcément transmettre cette capacité bénéfique à
ses enfants, puis au reste de l’humanité dans le futur ?

Cette probabilité est extrêmement faible, voire proche de zéro. Pourtant,
c’est ce sur quoi les évolutionnistes fondent leur théorie : une petite
modification génétique bénéfique survenue sur un membre de l’espèce, puis
transmise automatiquement à ses descendants de génération en génération
avant d’affecter l’espèce toute entière et l’obliger à évoluer peu à peu vers
une autre espèce.

La balle de baseball qui a atteint Orlando Serrell au côté droit de sa tête, le
15 janvier 1979 a provoqué des lésions qui ont poussé son cerveau à
produire de nouvelles connexions qui n’étaient pas programmées
génétiquement à l’origine. Il a donc développé des aptitudes non communes
au reste de l’humanité.

Beaucoup de ces autistes savants sont dotés d’une grande mémoire. Certains
possèdent une connaissance extraordinaire des dates associées aux jours de la
semaine. En leur donnant une date remontant à 200 ans dans le passé, ou
dans le futur, ils sont en mesure de lui associer le jour de la semaine, cela
sans l’avoir appris et sans le moindre effort. La théorie de l’évolution ne
saurait pas l’expliquer.

Toutes les aptitudes cérébrales que nous venons de citer, associées à une vie
sans fin et à la capacité d’éprouver un bonheur immense dans des choses

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simples de la vie, montrent ce qui aurait dû être normal et courant chez tous
les hommes sans le péché dont parle la Bible. Que ces aptitudes géniales
soient le fait d’un accident ou pas, cela montre que le cerveau de chacun de
nous possède un potentiel infiniment plus grand que celui qu’il exploite.
L’homme a potentiellement régressé.

Cette théorie, que les évolutionnistes ont essayé de nous vendre à tout prix
depuis Charles Darwin, pour gagner la course à l’explication de la vie, n’était
qu’un cheval mort et empaillé, qu’ils tentent encore aujourd’hui de faire
tenir debout.

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